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vendredi, 19 avril 2024
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Importation de voitures d’occasion en Algérie : Benzaim précise

Publié le

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Algérie – Le sénateur Abdelouaheb Benzaim s’exprime à son tour sur l’importation de voitures d’occasion en Algérie. Ainsi, pour faire valoir son opinion, le responsable a eu recours à une question orale destinée au ministre de l’Industrie.

En effet, le sénateur Abdelouaheb Benzaim s’est manifesté hier, 29 décembre. Ainsi il s’est exprimé par le biais d’une question orale destinée au ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali. Celle-ci portait sur le sujet de l’importation de voitures d’occasion de moins de trois (03) ans en Algérie. 

Le sénateur a rendu public ce document sur sa page Facebook. Et ce, afin de donner plus de visibilité à sa parole. Il a alors proféré qu’il n’était pas envisageable d’annuler l’importation de voitures d’occasion de moins de trois (03) ans en Algérie. 

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Le même orateur a appuyé ses propos en déclarant que cette activité est au contraire obligatoire. Il a alors rappelé qu’elle a été approuvée par le parlement dans ses deux chambres. C’est ce dont fait part la lettre orale de Abdelouaheb Benzaim. En outre, le Sénateur ne s’est pas arrêté à ces propos. Il a même fait part de plusieurs autres réclamations dans le texte susmentionné. 

Il s’est notamment interrogé sur l’ajournement de l’application de l’activité en question. Ainsi, le responsable s’est adressé au ministre de l’Industrie sur le nouveau gel de cet exercice. Il rappelle de ce fait que l’article 110 de la loi de Finances pour 2020 qui fait référence à l’importation des véhicules a été approuvé voilà une année déjà.

Le sénateur Abdelouaheb Benzaim demande des explications 

Le sénateur Abdelouaheb Benzaim s’est donc exprimé sur l’importation de voiture d’occasion de moins de trois (03) ans en Algérie. Dans ce même sillage, le parlementaire a demandé des explications quant au nouveau gel de cette activité. Il a alors souhaité avoir plus de renseignements sur l’importation de voitures d’occasion.

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Il a notamment déclaré que cette décision n’arrangeait guère la situation financière actuelle en Algérie. Le même orateur a rappelé que le marché national était confronté à plusieurs difficultés. Il cite dans ce sens la rareté et la cherté des véhicules en Algérie.

Pour conclure, le sénateur a proféré à la fin du même document que l’Algérie serait en mesure d’annuler l’importation de voitures d’occasion quand elle serait capable de produire. Il a ajouté que cela ne se concrétiserait pas avant quelques années de travail et d’investissement, révèle Benzaim par la même occasion.

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