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vendredi, 29 mars 2024
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Importation de voitures en Algérie : les précisions de Nebbache

Publié le

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Automobile – L’ancien président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (ACAM), Youcef Nebbache, a tenu à apporter des éclaircissements en ce qui concerne le processus de l’importation de voitures en Algérie.

En effet, Youcef Nebbache, qui n’est autre que l’ancien président de l’Association des concessionnaires automobiles multimarques (ACAM), est revenu sur le sujet de l’importation de voitures en Algérie. Cela à l’issue d’un entretien accordé, samedi, à la chaîne El Hayat TV. On reprend les déclarations ce 21 juin 2021. Il a affirmé que la procédure d’importation de véhicules a changé par rapport aux années précédentes.

Effectivement, l’ancien patron de l’ACAM a fait état de l’évolution du processus au niveau du département ministériel de l’Industrie. Ainsi que la manière différente du déroulement de traitement des dossiers en comparaison avec les années écoulées. Cela, en faveur des concessionnaires, désirant importer des voitures neuves de l’étranger et les commercialiser par la suite en Algérie.

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Importation de voitures en Algérie : l’obstacle compliquant la tâche aux opérateurs économiques

Puis, le même orateur a fait part des allégements mis en place par la tutelle. Cette dernière a déployé de grands efforts. Cela, dans le but de simplifier la démarche aux importateurs, a ajouté le même intervenant. Le département de Mohamed Pacha a en effet abrogé certains articles, compliquant l’octroi des agréments, a-t-il mentionné. Il a évoqué à titre d’illustration, les salles d’expositions dépassant 6.400 m², rendant difficile la procédure.

Dans ce sillage, le même intervenant a appelé à faciliter l’opération et d’attribuer l’agrément à l’opérateur économique. Et ce, si son dossier est conforme aux conditions requises. Il s’agit de ce qu’a déclaré Youcef Nebbache au média susmentionné.

Le même orateur a estimé que les banques constituent le seul obstacle pour les concessionnaires. Les établissements financiers imposent, en effet, aux opérateurs économiques d’effectuer une injection monétaire de 120 % de la somme totale. La masse monétaire ne doit pas être retirée avant un (1) mois. Telle chose complique la tâche aux concessionnaires, a jugé l’intervenant.

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