13.9 C
Alger
13.9 C
Alger
mercredi, 24 avril 2024
- Publicité -
AccueilÉconomieAutomobileImportation de voitures en Algérie : vers une nouvelle ère ? (Vidéo)

Importation de voitures en Algérie : vers une nouvelle ère ? (Vidéo)

Publié le

- Publicité -

Algérie – Les spécialistes économiques prédisent une nouvelle ère dans l’importation de voitures en Algérie au vu des exigences techniques et du nombre important des refus exprimés par le comité.

En effet, aucun changement n’a été apporté au dossier d’importation de voitures en Algérie, car, après avoir notifié neuf (09) candidats aux demandes d’agréments de refus, le comité technique continue dans sa lancée et présente sept (07) autres refus, ce qui laisse penser que les hautes autorités du pays comptent porter ce secteur vers une nouvelle ère.

Au fait, les exigences mises en place par le ministère de l’Industrie dans le cahier de charge sont considérées comme bloquantes par les concessionnaires. Même si ces conditions ont été revues deux fois. Cela, suite à des manquements techniques et à la non-conformité des documents présentés avec ce qui a été demandé.

- Publicité -

De ce fait, après deux modifications, les opérateurs économiques s’attendent à une troisième. Cependant, les spécialistes ne sont pas du même avis. Ils ont notamment précisé que cette décision ne va mener nulle part. D’autant plus que ces concessionnaires se sont habitués à une certaine souplesse et plus de facilité de la part du Gouvernement.

Importation de voitures en Algérie : le problème n’est pas dans les conditions, selon Kaoubi

En outre, l’analyste économique, Mahfoud Kaoubi, s’est prononcé à ce sujet lors d’un entretien téléphonique accordé à Echorouk News TV. Au fait, il a précisé que le problème ne réside pas dans les conditions mises en place par l’État. Mais plutôt dans le laissez-aller auquel les agents se sont habitués.

Cela dit, le nombre des dossiers refusés. Ceux relatifs aux demandes d’agrément pour l’importation de voitures ont impacté lourdement les prétendants concessionnaires. Et ce, du côté financier. Sachant que les pertes peuvent aller jusqu’à 100 milliards de centimes pour chaque candidat.

- Publicité -

Toutefois, la date d’importation de la première voiture demeure à ce jour inconnue. D’autant plus que même si les conditions vont être mises à jour. Et ce, pour une troisième fois, il y aura toujours le même nombre de refus enregistrés.

Par conséquent, ce face-à-face sans fin entre les concessionnaires et le ministère risque de durer encore. Cependant, le citoyen est le plus affecté dans cette histoire, avec la rareté, mais surtout la cherté du peu de voitures qui existent sur le marché.

- Publicité -

Derniers articles

- Publicité -

Nos lecteurs ont lu aussi

- Publicité -

A découvrir

- Publicité -
- Publicité -