Algérie – Le Comité technique continue dans sa lancée et refuse à nouveau 4 dossiers, ce qui porte le nombre total d’agréments refusés pour l’importation de voitures à 20.
En effet, le dossier de l’automobile en Algérie continue de susciter de multiples controverses, avec de nouveaux agréments d’importation de voitures qui viennent d’être refusés par le ministère de l’Industrie, représenté par le Comité technique interministériel. C’est du moins ce qu’a rapporté Sayarat Live.
Au fait, le nombre de dossiers d’importation rejetés s’élève à présent à vingt (20). Alors que l’ensemble des candidats assurent qu’ils ont respecté les conditions dictées dans le cahier des charges. En particulier, ceux qui ont déjà exercé et qui sont anciens dans ce domaine d’activité.
De son côté, le comité technique n’a pas divulgué davantage de détails ou d’explications sur les motifs de refus. Il n’a notamment pas procédé à l’organisation d’une conférence de presse ou la publication d’un communiqué. Et ce, afin d’annoncer les vraies motivations derrière ce refus total de l’ensemble des candidatures déposées.
Importation de voitures en Algérie : les résultats des recours bientôt divulgués
Pour rappel, sept (07) prétendants concessionnaires ont déjà déposé des demandes officielles auprès du Comité de recours. Cela, après avoir reçu des refus sur leurs dossiers. Cette commission s’est déjà réunie au cours de la semaine pour trancher sur les recours présentés. Par conséquent, les résultats doivent être dévoilés dans les jours à venir.
En outre, selon la même source, le ministère de l’Industrie se dirigerait vers une troisième révision et modification du cahier des charges. Celui relatif à l’importation de véhicules neufs en Algérie. Sachant que les concessionnaires trouvent que certaines conditions sont paralysantes.
C’est ce qui explique le fait qu’aucun agrément n’a encore été octroyé à ce jour. D’autant plus que les exigences actuelles interdisent aux entreprises étrangères d’importer des voitures vers l’Algérie. Ce qui a laissé place à certaines critiques, en particulier de la part des habitués au marché algérien.
