Automobile – Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a annoncé que le dossier d’importation de voitures va s’ouvrir la semaine prochaine en Algérie. On vous en parle ce mardi 10 août 2021.
Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a annoncé que le dossier d’importation des voitures sera ouvert la semaine prochaine en Algérie. Il l’a annoncé lors de sa rencontre avec les chefs de blocs parlementaires.
Alors, le ministre a passé en revue les différents dossiers de son secteur. Et ce, à commencer par la loi sur les investissements. Selon lui, elle sera prête avec l’ouverture de la nouvelle année parlementaire. Pour la première fois depuis son investiture, le ministre a répondu au dossier de l’automobile.
Qu’il s’agisse d’importer, d’installer, de fabriquer et même d’importer des voitures de moins de trois ans. Toutefois, il a refusé de limiter le ministère de l’Industrie au dossier automobile. Il a indiqué la nécessité de sortir de cette coquille et opter pour des réalisations significatives dans ce secteur.
Vers la production de l’oxygène médical
Par ailleurs, ledit ministre a révélé que les usines de son secteur sont prêtes à fournir 430.000 litres d’oxygène par jour pour approvisionner les hôpitaux nationaux. Bien qu’elles ne soient pas spécialisées dans la fabrication d’« oxygène médical », elles répondront à la demande compte tenu de l’épidémie de la Covid-19.
Lors de la réunion, l’orateur a déclaré que son secteur s’efforce de fournir de l’oxygène médical. En effet, l’exacerbation de l’épidémie de la Covid-19 a provoqué une pénurie en cette substance vitale.
Par la même occasion, il a souligné le lancement de l’usine Bethioua à Oran. Cette dernière possède une capacité de production allant jusqu’à 100.000 litres d’oxygène par jour. Même chose dans la capitale, avec l’usine de Birtouta avec une capacité de production journalière de 60.000 litres.
De surcroît, il a indiqué que la capacité totale de ces usines atteindra près d’un demi-million de litres d’oxygène. Zeghdar a notamment expliqué que « les lois ne changeront pas chaque année, afin de ne pas remettre en cause notre climat d’investissement ».