Algérie – Ces dernières années, l’importation de l’automobile en Algérie a connu une grande récession ! Ce fait inédit est principalement dû à la suspension de l’importation. Ainsi, dans ce nouveau numéro, Dzair Daily, vous présente la procédure à effectuer pour importer une voiture neuve.
En fait, depuis que l’importation de l’automobile en Algérie a été suspendue, les prix de l’automobile ne cessent de grimper ! À cet effet, l’achat d’une voiture neuve est désormais difficile, voire impossible pour les personnes dont le porte-monnaie n’arrive pas à suivre ! Cependant, d’autres personnes ont opté pour une autre méthode. Pas par choix, mais par nécessité !
Ainsi, si vous voulez en savoir plus, vous n’avez qu’à lire l’intégralité de cette nouvelle édition ! À vrai dire, la reprise de l’importation des véhicules en Algérie a fait couler beaucoup d’encre ! En effet, beaucoup de rumeurs ont vu le jour à ce sujet. Cependant, aucune décision n’a été prise, jusqu’à présent !
Lors d’une intervention médiatique en mai dernier, le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar a affirmé que le dossier de l’importation des véhicules est principalement lié au système juridique. Par ailleurs, il a fait savoir que la nouvelle loi sur les investissements pourrait apporter quelques changements par rapport à cette crise.
Les taxes relatives à l’importation d’un véhicule varient de 100 à 300 millions de centimes de DA !
En attendant la mise en place de la nouvelle loi sur l’importation des véhicules, beaucoup de personnes ont décidé d’importer des voitures neuves de l’étranger. En effet, il existe plusieurs méthodes pour acheter une voiture étrangère. Et cela, en utilisant les licences des Moudjahidines.
À vrai dire, cette méthode est parmi les méthodes les plus répandues actuellement. Dans le détail, l’acheteur peut faire recours à un concessionnaire particulier. De ce fait, le principal concerné peut bénéficier de l’abattement des taxes de douanes. Dans le même sillage, il est à noter que l’importation d’une voiture au nom d’un organisme ou d’un citoyen importateur est envisageable.
Cependant, le bénéficiaire doit payer toutes les taxes relatives à cet acte. À titre informatif, les taxes varient de 100 à 300 millions de centimes de DA ! Ainsi, le citoyen algérien reste entre le marteau et l’enclume jusqu’à nouvel ordre !