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vendredi, 29 mars 2024
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Importation d’automobile en Algérie : Belhimer explique les blocages

Publié le

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Algérie – Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, est revenu sur un sujet très abordé actuellement, soit l’importation automobile. 

En effet, Ammar Belhimer est revenu ce lundi, 08 février, sur plusieurs sujets d’actualité, notamment celui de l’importation automobile en Algérie. Il explique ainsi la raison du blocage de cette activité qui, rappelons-le, provoque une hausse sans précédent des prix des voitures d’occasion. 

Les autorisations d’importation de voitures semblent prendre plus de temps. Cette situation suscite le retard de l’arrivée des véhicules sur le marché national de l’automobile. À cet effet, le porte-parole du gouvernement a accordé un long entretien au quotidien arabophone El Massa

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Ammar Belhimer a tout d’abord rappelé une chose. Il a donc réaffirmé que le Comité technique interministériel a octroyé sept (07) agréments provisoires aux opérateurs économiques. Ces agréments délivrés récemment sont temporaires et sont soumis à des conditions bien définies.

Parvenir à une véritable industrie automobile

Lors de son entrevue, Ammar Belhimer a expliqué qu’il n’a pas été évident de recevoir des avis favorables pour l’octroi d’agréments des concessionnaires de marques internationales d’automobile. Ceci s’explique par la conjoncture économique difficile que traverse le pays actuellement.

Le ministre de la Communication a assuré d’une chose dans ce sens. Il a fait savoir que ces acquiescements ont pour objectif de satisfaire les demandes. Ils visent notamment à satisfaire le besoin des citoyens en matière de voitures touristiques et utilitaires. Le temps que le pays mette en place une véritable industrie automobile, souligne-t-il. 

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Selon lui, la politique de l’État est bien claire et simple, sans ambiguïté et a été établie en toute conscience. Elle consiste justement en la construction d’une économie forte, dit-il. Cette élaboration se fera, selon l’interviewé, avec de grandes institutions qui participeront à la création d’avantages concurrentiels. 

Ainsi, cette stratégie économique permettra d’élever le taux d’accroissement de la productivité, d’après le même orateur. Elle contribuera aussi, toujours selon lui, à la création d’emplois et à la protection des réserves de change du pays. C’est ainsi que Belhimer a clos le sujet sans donner de détails quant aux marques de voitures que le ministère de l’Industrie compte importer et leurs prix. 

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