People – Lors d’un récent hommage rendu au célèbre acteur, Salah Aougrout par le ministère de la Culture, l’omission de sa femme, Fatima Belhadj, a provoqué la vive protestation de son fils Brahim Irban.
Dans un élan de désapprobation publique, Brahim Irban, le beau-fils du célèbre acteur algérien Salah Aougrout, connu affectueusement sous le nom de Souilah, a pris d’assaut les réseaux sociaux pour exprimer son indignation.
Son mécontentement trouve, en effet, sa source dans un récent événement organisé par le ministère de la Culture algérien. Lors de cette journée d’étude dédiée à la loi sur l’artiste, un hommage a été rendu à l’illustre Salah Aougrout, reconnaissant ses contributions inestimables à l’art et à la culture algérienne. Toutefois, cette célébration a omis de reconnaître un autre pilier de l’industrie artistique algérienne : Fatima Belhadj, épouse de Salah Aougrout, elle-même actrice et productrice émérite.
Salah Aougrout célébré, son épouse oubliée : Brahim Irban soulève une polémique culturelle
La contribution de Fatima Belhadj à l’enrichissement de la scène artistique algérienne est indéniable. Ayant joué un rôle significatif dans de nombreuses productions, sa présence a marqué le paysage culturel du pays. En plus de ses réalisations professionnelles, elle a été un soutien crucial pour son mari, Salah Aougrout, tout au long de son parcours artistique et lors de ses périodes de maladie.
L’indignation de Brahim Irban soulève des questions cruciales sur la reconnaissance et la valorisation des artistes en Algérie. En mettant en lumière l’oubli de sa mère, Fatima Belhadj, il invite à une réflexion plus large sur la manière dont les contributions de certains artistes sont souvent négligées ou minimisées.
Cette situation met en évidence le besoin impérieux de réévaluer et de célébrer équitablement les talents artistiques, indépendamment du genre, dans le but de promouvoir une industrie culturelle plus inclusive et représentative de tous ses acteurs.