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vendredi, 12 avril 2024
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Gaz : l’Algérie refuse d’approvisionner la Tunisie ? Voici la réponse

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Algérie – Fidèle fournisseur depuis toujours, les autorités algériennes comptent-elles suspendre l’exportation du gaz vers la Tunisie ? Dzair Daily vous apporte la réponse à ce questionnement dans les lignes qui suivent.

En ce temps de crise, le GNL Dz se fait désirer ! Après l’Espagne, c’est la Tunisie qui sent le péril vis-à-vis des livraisons de gaz de l’Algérie. En effet, des rumeurs circulant sur le Web, laissent entendre, que les autorités algériennes refusent d’approvisionner le pays voisin. Qu’en est-il ? On expose pour vous la réponse dans cette édition du jeudi 19 mai 2022.

Dans le détail, c’est le secrétaire général de l’Université général de l’électricité et du gaz qui a déclenché la polémique en Tunisie. Cela lors de son passage sur les ondes de la radio Shems FM. Dans son discours, le responsable a indiqué que la Sonatrach n’est plus en mesure de fournir des quantités additionnelles de gaz dont a besoin son pays. Une situation qui, selon ses dires, impactera la production d’électricité pendant l’été.

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L’annonce de Abdelkader Jelassi a suscité l’inquiétude de ses concitoyens. D’autant plus accentuée par des infox selon lesquelles notre pays aurait informé la Tunisie qu’il allait couper l’exportation de cette matière première. Des rumeurs vite démenties par le DG de l’électricité et de la transition énergétique, au ministère tunisien de l’Industrie.

L’algérie a arrêté l’exportation du gaz vers la Tunisie ? Un responsable démentit les rumeurs

À la lumière de cette controverse, Belhassen Chiboub a tenu à apporter des éclaircissements sur le sujet. Lors de son intervention, le locuteur a affirmé qu’il n’y a aucun problème de livraison du GNL algérien. Il a fait savoir que le groupe Sonatrach est lié par un contrat avec la société tunisienne Steg. C’est ce que rapporte le média arabophone Echorouk.

« Nous avons demandé des quantités supplémentaires en plus des quantités contractuelles », a précisé le responsable « Cette part additionnelle fournie en dehors du contrat nécessite une programmation technique. Donc l’Algérie ne peut pas répondre immédiatement à notre demande », a-t-il expliqué. Cela est dû à la forte demande de gaz naturel en raison de la crise ukrainienne.

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