Algérie / France – Gratuité des tests de dépistage à Toulouse, pour les rapatriés provenant d’Algérie. Un procédé qui va immuniser les vols de rapatriement Algérie / France.
Effectivement, un nouvel espace est aménagé, au sein de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, ce dernier consiste à effectuer des tests de dépistage gratuit pour tous les rapatriés provenant d’Algérie. Une approche défensive ayant pour perspective, de barricader toute probabilité de contagion; pouvant s’introduire sur le sol français, en l’occurrence sur le territoire toulousain; d’après le média La dépêche.
De part cette mesure à l’allure draconienne, et d’étiquetage « bénévole »; le service de dépistage propose ses fonctionnalités, pour tout volontaire souhaitant se faire tester après le débarquement. En outre, l’équipe médicale de la plateforme aéronautique, établit des tests PCR en toute célérité, grâce au prélèvement nasopharyngé.
Plus de détails ont été communiqués, à ce propos par le biais d’un témoignage d’une infirmière, a-t-il indiqué La dépêche. L’intervenante stipule que ces tests proposés, ne relèvent d’aucune exigence absolue. Néanmoins, ce service de dépistage à l’aéroport de Toulouse, s’adresse uniquement, aux rapatriés arrivant d’Algérie et de Turquie. Cependant, sur l’ensemble des 25 passagers concernés par cette procédure, seul un, d’origine turque a pris les devants; afin d’éradiquer toute once de doute.
Contaminations dans les vols de rapatriement Algérie / France : L’ARS intervient
Si ce nouveau service de dépistage a vu le jour dans les aéroports de France, c’est principalement à cause des cas contaminés, recensés au sein des vols de rapatriement; surtout ceux organisés depuis l’Algérie. Et à cet effet, l’Agence régionale de santé Auvergne Rhône-Alpes, l’ARS a décidé de prendre la situation en main, en lançant des opérations de dépistage; opérationnelles depuis le 15 juillet 2020, à l’aéroport de Toulouse.
Rappelons, que les récents vols de rapatriement effectués au départ d’Algérie, en destination de France, ont transporté à leur bord des passagers atteints du coronavirus. Près d’une vingtaine de voyageurs hospitalisaient, une fois atterri sur le sol français. Et à cet égard, le professeur Eric Caumes, infectiologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, avait déjà évoqué l’impérative nécessité d’établir, un protocole préventif pour les rapatriés recueillis. Une déclaration communiquée, au début du mois courant; et qui vient à peine de se voir appliquée sur le terrain, à titre « volontaire ».