Foot – Dans la suite de cette édition du 13 septembre 2022, Dzair Daily vous dévoile les salaires et combien touchent les entraîneurs de football lors du championnat algérien. Lisez l’intégralité de cet article, tout vous sera détaillé ci-dessous.
La FAF a lancé une réflexion quant au statut du métier d’entraîneur. De ce fait, la susdite fédération révèle les salaires des entraîneurs du championnat algérien. Il s’agit là de ce que rapporte le quotidien généraliste arabophone, El Khabar. Retrouvez ci-dessous, toutes les informations relatives à ce sujet.
Effectivement, sur la tête de la liste des entraîneurs les plus chers, nous retrouvons l’entraîneur sétifien Hossam Mohamed Al Badry, de l’ES Sétif. Il est en effet en pôle position, des entraîneurs les mieux payés. Et ce, en cette Ligue 1 professionnelle pour la saison de football en cours 2022 / 2023. L’information est rapportée par le même média.
Par ailleurs, le président du club susmentionné, Abdelhakim Serrar n’accepte aucune aide financière. Malgré la situation critique dans laquelle se trouve son Club, en raison de l’accumulation de dettes. De ce fait, il déclare : « Je ne suis pas gêné qu’Al Badry soit l’entraîneur le plus cher d’Algérie ». « Un investissement sûr pour construire une équipe solide capable de produire des résultats à court terme », a-t-il ajouté.
Foot : les salaires des entraîneurs du championnat algérien
En ce qui concerne l’ex-entraîneur belge José Riga de la JS Kabylie, son salaire mensuel était de 660 millions de centimes. Il était l’un des entraîneurs les plus chers, et qui se positionne en première place de la liste. Ce dernier devançait même, Al Badry. En revanche, les résultats l’ont ravagé. Il se fait alors limogé après 3 matches, à la tête des Canaris.
Quant à l’entraîneur de CR Belouizdad, le Tunisien Nabil Kouki, arrive en deuxième place de ce classement. Avec notamment un salaire mensuel d’environ 500 millions de centimes. Cela, sans compter les salaires de son effectif, composé de trois (3) techniciens. Il sied de dire que les entraîneurs étrangers dominent la liste des entraîneurs « Les plus chers ».
Enfin, l’entraîneur bosniaque du Mouloudia d’Alger, Faruk Hadzibegic occupe la troisième place. Il vient tout juste après Al Badry et Kouki, avec un salaire de 450 millions de centimes par mois. Celui-ci a également été limogé, après 3 résultats décevants enregistrés avec le doyen lors des trois premiers matches.
