Algérie – Amar Belani, ambassadeur d’Algérie à Bruxelles réplique objectivement sur la résolution émise par l’UE, qui a décidé de fermer ses frontières à l’Algérie.
L’Algérie se voit prohiber d’accès à l’aire européenne, suite à la décision de l’UE qui a jugé plus prudent de fermer ses frontières, à ce pays statué sanitairement précaire. A cet égard, l’ambassadeur de l’Algérie à Bruxelles, Amar Belani s’est prononcé en stipulant que ladite décision; n’impacte aucunement le protocole établi par l’Etat algérien, en ce temps de crise.
En effet, suite à l’actualisation du répertoire des pays autorisés d’accès à l’UE, l’Algérie s’est vue exclu de ce nouveau listing; divulgué mercredi passé, 29 juillet 2020. Une reconsidération portante d’une optique sécuritaire, qui vise à préserver l’immunité de l’UE; de la matrice épidémiologique algérienne, qui poursuit activement son ascension.
Par ailleurs, le représentant de l’Etat algérien à Bruxelles, a souligné que cette mesure n’aura aucune répercussion; sur l’ensemble des dispositifs entrepris par les autorités algériennes.
Effectivement, les autorités algériennes ont décidé de maintenir la fermeture des frontières terrestres, maritimes et aériennes; afin d’endiguer la prolifération du Coronavirus. A explicité l’orateur dans une interview accordée à Euronews.
Mise à jour de la liste des pays autorisés d’accès à l’UE : Quels sont les pays qui y figurent ?
L’actualisation dudit listing établit le 29 juillet passé, par les représentants diplomatiques de l’UE; comporte désormais seulement 12 pays permirent d’entrer à l’espace européen.
De ce fait, les destinations ayant bénéficié de cette autorisation sont : l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Japon, la Corée du Sud, la Thaïlande, la Tunisie, le Maroc, la Géorgie, le Rwanda et l’Uruguay.
En outre, la Chine est également inscrite dans cette « liste blanche » élaborée par l’UE. Cependant, les voyageurs provenant de cette destination ne pourront pas gagner le sol européen; du moment que les gouverneurs de l’empire céleste demeure encore réticent face à l’application du principe de réciprocité.