Foot – Alors que l’international algérien, Saïd Benrahma, a fait face à une période difficile tant en club qu’en sélection nationale, il trouve un réconfort spirituel en se rendant à la Omra avec sa mère, écarté par le sélectionneur Djamel Belmadi pour les récents matchs internationaux, il a choisi un chemin de paix et de réflexion spirituelle.
Saïd Benrahma, l’ailier de West Ham United, a récemment été au centre de l’attention, non pas pour ses performances sur le terrain, mais pour sa décision de se rendre à la Omra, après avoir été écarté par le séléctionneur algérien Djamel Belmadi. Cette démarche, qui intervient dans un contexte sportif compliqué pour lui, soulève des questions sur son avenir en équipe nationale et en club.
En effet, le coach, Djamel Belmadi, le sélectionneur de l’équipe d’Algérie, a pris la décision difficile d’écarter Said Benrahma pour le match contre la Somalie. Cette exclusion s’inscrit dans une série de contre-performances de l’international Dz, aussi bien en sélection nationale qu’avec son club. Mais pas que ! Sa mise de côté s’apparente aussi à une sanction, qui s’est probablement sabordée après sa sortie houleuse en octobre face à l’Égypte.
Benrahma et Belmadi : le chemin de la Omra après une exclusion xontroversée
Face à cette situation, Saïd Benrahma a choisi de se tourner vers sa foi. Accompagné de sa mère, il a entrepris le pèlerinage de la Omra, partageant des moments de ce voyage spirituel sur son compte Instagram. Les images le montrent en tenue d’Al Ihram devant la Kaaba. Un geste qui témoigne de sa recherche de paix intérieure et de réconfort spirituel en des temps difficiles.

En club, la situation du Fennec n’est guère plus reluisante. Avec seulement une titularisation depuis le début de la saison et une contribution limitée (une seule passe décisive et aucun but en neuf rencontres), il traverse une période de forme médiocre qui soulève des interrogations sur son rôle futur à West Ham.