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mardi, 23 avril 2024
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Euro – Dinar algérien : Les raisons de la baisse vues par un expert (vidéo)

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Algérie – Un expert en économie dévoile les principaux moteurs de la baisse du dinar algérien face aux principales devises étrangères, en particulier l’euro.

En effet, un expert en économie a dévoilé lors d’un entretien accordé à Echorouk, ce lundi 03 mai 2021, les principales raisons de la baisse du dinar algérien face aux principales devises étrangères, qui serait tributaire à quatre facteurs économiques.

Dans le détail, le spécialiste a précisé que la chute ou la hausse de la valeur de la monnaie nationale dépend de quatre principaux indicateurs en Algérie. Il s’agit en premier lieu de la croissance économique du pays. C’est-à-dire, le produit intérieur brut (PIB). 

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En deuxième position, le même intervenant a parlé du prix du pétrole, qui fait partie intégrante des éléments qui peuvent affecter la valeur du dinar. Troisièmement, la productivité de l’économie nationale et son impact dans le contexte mondial.

En outre, en quantième et dernier lieu, le locuteur a évoqué l’inflation en Algérie. Selon lui, il s’agit des quatre agents qui influencent la valeur de la monnaie nationale. Sachant que d’après lui, tous les éléments évoqués plus haut sont en position inconfortable actuellement. Ce qui mène à la baisse observée, dit-il.

Comment redonner force au dinar ? Le spécialiste plaide pour la libéralisation de l’économie

Par ailleurs, selon l’expert, cette dévalorisation de la monnaie entraîne la détérioration de l’économie nationale. D’autant plus qu’il a précisé que si la situation continue de la sorte, le pays risque de se retrouver submergé de crédits. Cela dit, parmi les solutions qu’il a proposé serait d’ouvrir la production et les investissements pour les opérateurs nationaux et étrangers.

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De ce fait, inciter les investisseurs bâtir leurs projets en Algérie. Ainsi, le gouvernement devrait limier son intervention au domaine législatif. Si l’on suit la logique de l’intervenant, il serait hautement préférable de laisser “libre cours” au marché lui-même. Il soutient qu’une telle conception est conforme à la vision islamique.

Tout ça, dans le but de permettre à ces opérateurs économiques de se lancer dans un environnement propice. Rappelons enfin que dans une déclaration précédente, le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane, avait souligné un élément de taille. Selon lui donc, il n’y a jamais de monnaie forte sans une économie qui l’est aussi.

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