Études – Les conditions de poursuite d’un cycle universitaire en France, ont subi une nouvelle version réglementaire, cette dernière concerne principalement la hausse des frais d’inscription, dont l’étudiant algérien devra faire face.
Effectivement, dans le Conseil d’Etat qui s’est tenu hier, 1er juillet 2020, il a été décidé de revoir l’acquittement des frais d’inscription dans les universités françaises pour l’étudiant étranger, dont l’étudiant Algérien; souhaitant faire par d’une aventure instructive, entre-autres des études de cycle supérieur en France.
Par ailleurs, le communiqué du Conseil a évoqué la notion de gratuité de l’enseignement supérieur public; ainsi que le coût d’inscription imposé aux étudiants étrangers, dont l’Algérien fait partie. Ledit document communiqué, a indiqué que ces frais d’inscription ne peuvent être considéré comme étant une entrave à la demande de savoir; dont les étudiants réclament, d’autant plus qu’une aide financière ainsi que des exonérations lui seront attribuées.
Une déclaration qui a suscité un désarroi au sein d’innombrables associations, notamment celle de l’Union nationale des étudiants de France, l’UNEF. En effet, l’UNEF s’est opposé à cette décision en indiquant que les étudiants étrangers; Algériens est compris, ne peuvent bénéficier des mêmes profits administratifs attribués par le Conseil.
L’UNEF fait face à la décision gouvernementale en défendant l’étudiant étranger
En dépit de, l’indication du Conseil qui a souligné que les étudiants exposés à une fluctuation internationale; peuvent être potentiellement favorable à certaines qualifications administratives allégées. En stipulant qu’il est possible de tirer profit d’un dégrèvement total ou partiel des droits d’inscription mis à leur charge; certains s’y opposent formellement en exprimant une opinion sceptique.
En effet, parmi eux se trouve l’UNEF qui maintient sa position; en étant en total désaccord avec les énoncés du Conseil. Et à ce titre, la présidente de l’association Mélanie Luce a lancé un appel de détresse; en invitant les universités à ne pas appliquer cette nouvelle résolution; qui aura à débiter aux étudiants étrangers, notamment Algériens; 2770 euros pour les droits d’inscription en licence et 3770 euros en master; a rapporté le média Algerie Eco.
Rappelons que les étudiants appartenant à l’aire européenne, n’auront qu’à payer 170 euros pour le niveau licence et 243 euros pour le niveau master. Une reconsidération émise en novembre 2018,;et qui fut mise en place par certaines universités françaises; a révélé le même rapporteur médiatique.