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jeudi, 25 avril 2024
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Économie : L’Algérie ne recourra pas à l’endettement extérieur

Publié le

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Économie – Le ministre des Finances s’est prononcé. Il a alors souligné qu’en Algérie, il n’y aura pas de recours à l’endettement extérieur ». Les uns applaudissent, tandis que les autres se montrent sceptiques.

Aymen Benabderrahmane s’est en effet exprimé. Lors d’une journée d’étude sur les réformes budgétaires. « L’Algérie ne fera pas recours à l’endettement extérieur ». C’est ce qu’il a déclaré ce lundi. En outre, « nous travaillerons pour la préservation de l’indépendance ». À savoir « l’indépendance de nos décisions financières »; a-t-il assuré.

Les propos du ministre ont été rapportés par le quotidien algérien Ennahar. Ils ne font à vrai dire que réaffirmer la position du Tebboune. Pour celui-ci l’option d’aller s’endetter auprès du FMI est synonyme de renonciation. C’est-à-dire renoncer à la souveraineté nationale. Et par conséquent, cela impactera la position de la diplomatie algérienne. L’impact portera sur divers questions internationales.

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Ce sont là les estimations du chef de l’État. Certains soutiennent cette position « louable ». Pendant que d’autres voient là une sorte de vision « utopique ». Ne pas faire appel à l’endettement extérieur ! Pour eux, il s’agit d’un engagement « impossible » à tenir. La crise économique actuelle est multi-facettes. De ce fait, l’endettement extérieur est inévitable. Le temps tranchera là-dessus finalement. 

Développement en Algérie sans endettement extérieur ?

L’orateur a avancé que « la roue des investissements  ne s’arrêtera pas ». Il a aussi indiqué que l’État est présent. Il « veillera à fournir tous les moyens de gestion » en la matière. L’orateur a noté que « tout le gouvernement s’oriente par là ». Ceci concerne « la plupart des investissements ».

Le ministre a appelé les médias à travailler; avec son ministère. Ceci en mettant en exergue « les lacunes sur le terrain ». L’intervenant a par ailleurs abordé les réformes les plus importantes. Elles touchent au budget. Il a indiqué « la fixation d’un calendrier ». Le but étant de « faciliter le calcul des dépenses ».

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En plus, « nous travaillons à faciliter les tâches des départements ministériels ». Cela « pour établir un budget prospectif ». Il servira au « suivi des dépenses publiques. « Dans un cadre transparent ». Et d’ajouter : « La priorité du ministère aujourd’hui réside dans le contrôle des dépenses ». Ainsi que dans « leur orientation vers des investissements productifs »; a-t-il conclu.

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