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dimanche, 14 avril 2024
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Devise Algérie : L’éradication du marché parallèle pour protéger l’économie ?

Publié le

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Algérie – Jeudi dernier, le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane, s’est exprimé de nouveau sur l’éradication du marché parallèle de change des devises étrangères en Algérie. 

En effet, le ministre des Finances est revenu sur le sujet qui ne cesse d’alimenter les débats. C’est-à-dire l’impact du marché parallèle des devises sur la situation économique en Algérie. Le quotidien arabophone Echorouk relate l’information. 

Intervenant devant les membres de l’APN, le premier argentier du pays a tenu à éclaircir les choses. Aymen Benabderrahmane s’est dit favorable à l’éradication du marché parallèle de change qui ne finit pas d’envahir l’économie nationale. 

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À la question d’un député sur la lutte contre le marché noir et les ventes illicites, l’intervenant s’est montré plus explicite. Il a fait savoir que son ministère et d’autres départements s’efforcent de trouver une solution imminente et durable à cette problématique.

Ainsi, Benabderrahmane a annoncé que son secteur travaillait en coordination avec ces institutions afin d’endiguer le marché noir de la devise. À savoir, la Banque d’Algérie, les services de douane et le ministère du Commerce. 

Fermeture du marché noir de devise pour relancer l’économie nationale ?

La question de la lutte contre l’extraction de cette activité illégale au niveau de la place du square Port-Saïd à Alger ne cesse de refaire surface. Aymen Benabderrahmane estime qu’il faut éliminer cette pratique sur tous les marchés informels et pas seulement celui de la capitale. 

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| Lire aussi : Devises en Algérie : « Il n’y a pas que le square comme marché parallèle », (ministre) 

Avant cela, le ministre de l’Industrie, Ferhat Ait Ali Braham, avait plaidé pour la nécessité de l’éradication du marché parallèle des devises pour minimiser les perturbations économiques. Et lui aussi pense que la lutte contre cette activité ne se résume pas qu’à la fermeture du Square. 

« Fermer le Square peut très bien se faire mais la pratique ira vers d’autres lieux ». C’est effectivement ce qu’a déclaré le ministre de l’Industrie dans une conférence organisée par l’INESG. Toutefois, le membre du gouvernement préconise comme solution « la transparence des transactions financières ». 

Cette stratégie permet, selon l’homme politique, au citoyen d’accéder aux devises étrangères de manière légale. Elle impose l’anéantissement total de ces opérations illicites de devises au niveau des surfaces et canaux informels, souligne-t-il.

| Sujet connexe : Transfert illicite de devise en Algérie : Voici le montant saisi en 2020 

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