Algérie – Selon le physicien algérien, Noureddine Melikechi, notre pays possède les capacités nécessaires pour participer à l’exploration des mystères de l’univers, en contribuant à la conquête de l’espace.
L’humain s’est longuement intéressé à ce qui se cache derrière le toit étoilé de la planète mère, notre Terre. Depuis quelques décennies, de nombreux pays se sont mis à explorer l’espace dans l’espoir de trouver des traces de vie. Bien que la conquête de l’espace s’est affirmée comme source d’enrichissement, Nourredine Melikechi estime que l’Algérie pourrait apporter sa propre contribution à cette dernière.
C’est en effet ce qu’a indiqué le physicien algérien, qui travaille à la Nasa, dans un entretien accordé au site d’information, TSA, ce samedi 06 mars 2021. Selon Melikechi, l’Algérie possède tous les moyens qui pourront lui permettre de jouer un rôle important dans la conquête de l’espace. Il a tenu, par la suite, à expliquer sa vision des choses.
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Le physicien affirme que notre pays regorge de talents. Selon lui, de nombreuses têtes bien faites se sont spécialisées dans le domaine spatial. Chose qui facilitera l’insertion du pays dans ce dernier, si l’on se fie au scientifique. Un peu plus loin, Melikechi a indiqué que l’Algérie ne doit pas obligatoirement avoir un programme sur la planète Mars pour se faire.
Le physicien algérien a tenu ensuite à énumérer les bienfaits que peut tirer le pays de sa contribution dans le domaine. Selon lui, celle-ci pourrait « servir au développement de l’agriculture, à la surveillance et à la protection du territoire ».
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Pour ce qui est de la stratégie à suivre pour en arriver, le physicien souligne la nécessité d’« avoir une vision, des priorités et des données fiables et précises sur nos sources humaines ». Dans le même ordre d’idées, « une ouverture sur le monde » extérieur n’est pas négligeable aux yeux du spécialiste.
Pour renforcer son argumentaire, l’expert a fait savoir que plusieurs études ont démontré que les nations ouvertes à l’international, sont celles dont l’impact de leur travail scientifique est le plus expressif. « Il ne faut pas se contenter de transfert technologique » seulement, prévient l’intervenant. Il faut « faire partie des équipes qui développent les nouvelles technologies », conclut-il.
