Algérie – Certaines compagnies aériennes avaient commercialisé les billets de vols du mois de juillet, telles que Alitalia, avant d’annoncer, par la suite , l’annulation de leurs liaisons aériennes, depuis et vers l’Algérie.
Dans le cadre du déverrouillage partiel des frontières nationales, de nombreuses compagnies aériennes étrangères assurent des vols, depuis et vers l’Algérie. C’est à l’image d’Alitalia qui avait fait l’annonce d’un vol reliant Rome à Alger. Néanmoins, le transporteur italien a suspendu la desserte en question. C’est de toute manière ce que rapporte le média arabophone Djalia Dz, ce mercredi 30 juin 2021.
Effectivement, à cinq jours de l’exécution du vol, la compagnie a informé sa clientèle d’un changement de programme. Elle a suspendu, dans ce sens, les liaisons aériennes entre Rome et Alger. Le vol prévu pour le quatre (04) juillet 2021 est, en effet, annulé. C’est ce qu’affirme le même média spécialisé.
Il est à signaler que l’entreprise italienne avait déjà commercialisé les billets d’avion du vol en question. Cela a suscité l’incompréhension de la diaspora algérienne, ayant déboursé des sommes importantes en vue de regagner la terre natale. Les détenteurs de billets ont exprimé leur confusion quant à cette suspension « injustifiée » des vols commerciaux. Il est là encore question de ce dont nous informe la source médiatique susmentionnée.
Des autorisations de vols hebdomadaires octroyées à certaines compagnies
Selon le même média, certains transporteurs étrangers n’obtiennent que des autorisations hebdomadaires pour effectuer les vols depuis et vers le sol algérien. D’autre part, certains observateurs estiment que les compagnies aériennes se sont empressées d’annoncer leur programme du mois de juillet. Cela, étant donné que les pouvoirs publics n’ont annoncé aucune communication officielle sur la poursuite des vols, ajoute le média.
Pour mémoire, la compagnie ASL Airlines a annulé, à son tour, les vols du mois de juillet entre Paris et Alger. La compagnie n’a fourni aucune explication quant aux motifs de la suspension des dessertes, ni sur le remboursement d’argent.
