Canada – Dans un Webinaire organisé à Montréal, des spécialistes algériens expliquent la situation économie algérienne et les privilèges accordés aux investisseurs étrangers. On vous explique tout dans cette édition du 2 octobre.
L’économie algérienne au cœur du Canada francophone. Dans le cadre des rencontres économique Desjardins qui s’intéressent à l’état du commerce à travers le monde et les conséquences de la pandémie Covid-19 sur son évolution, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), a organisé mercredi dernier un Webinaire sous le thème :
« Algérie, attraits et occasion des coopérations ». Une rencontre animée par deux experts algériens Abdelatif El-Houari et Siham Heraoua. L’un est le chargé de la gestion à l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex). Et l’autre est chef d’études à l’Agence nationale de développement et de l’investissement (ANDA). Ils ont exposé le potentiel de l’Algérie. Et ce, dans de nombreux secteurs susceptibles d’intéresser des investisseurs étrangers. C’est ce dont nous informe le quotidien Liberté.
D’après la même source, durant la conférence, les deux experts algériens expliquent que l’Algérie cherche des occasions de coopération. Telle chose dans plusieurs secteurs économiques. Le but consiste à relancer l’économie. Et diversifier ses échanges commerciaux. Ces derniers se basent pour le moment sur le domaine des hydrocarbures.
Les avantages accordés par l’État aux investisseurs étrangers
Les deux conférenciers précisent qu’aujourd’hui l’Algérie est confrontée à une grande concurrence. Celle-ci concerne le domaine du commerce en Afrique. Surtout après la création de la Zone de libre échange continental africain. C’est à partir de là que vient l’intérêt pour l’Algérie d’attirer les hommes d’affaires étrangers. L’objectif est de s’entraider à diversifier la production locale et les exportations.
Par la même occasion, les deux experts ont étalé les avantages qu’aura un investisseur étranger en Algérie. En théorie, il sera confronté à une facilitation administrative accompagner par l’acte d’investir, en plus des avantages fiscaux, parafiscaux et bancaires.
D’après quotidien national,qui cite le gouvernement de Justin Trudeau, les échanges commerciaux entre le Canada et l’Algérie ont enregistré une baisse considérable au cours de l’année 2020. Cette baisse se concentre notamment sur quelques produits alimentaires à titre, d’exemple les céréales.