Canada – Le Canada s’apprête à accueillir 70.000 migrants en 2022, dont un bon nombre d’Algériens. Dzair Daily se charge de vous rapporter les détails dans cette édition du 31 octobre 2021.
Il n’y aura peut-être jamais eu autant de nouveaux migrants permanents admis au Québec. En effet, 70.000 migrants sont attendus l’année 2022 au Canada dont des Algériens. Une nouvelle qui devrait faire plaisir à plus d’un. C’est afin de combler les effets de la crise sanitaire. Celle-ci a empêché des milliers d’immigrants de s’installer durablement dans la province.
C’est effectivement ce qu’a annoncé la ministre provinciale de l’immigration, Nadine Girault, dans un communiqué. Officiellement, le gouvernement canadien a décidé d’ouvrir les vannes de l’immigration. Cela afin de contribuer au besoin du Québec en matière de main-d’œuvre dans plusieurs secteurs de l’économie. Le quotidien francophone Liberté a repéré l’information ce 31 octobre 2021.
Néanmoins, le Québec a décidé de maintenir ses cibles. Toujours, le gouvernement de François Legault mise sur des zones géographiques francophones. À savoir l’Afrique du Nord et subsaharienne. L’objectif est que 82 % des candidats admis soient francophones. Dans ce sens, les candidats algériens pourront avoir une belle grande longueur d’avance.
Canada : le Québec promet un nombre record d’immigrants
Concrètement, cette hausse du nombre d’immigrants se fera essentiellement afin de combler une partie du déficit observé en 2020 des travailleurs. En outre, cela servira également sur le plan linguistique. Puisque le Québec dépense beaucoup d’argent dans la francisation des immigrants arrivés sur place.
Chaque année, un nombre de 3.000 jusqu’à 4.000 candidats algériens sont admis au programme du Québec. Ce chiffre s’est vu diminué ces dernières années avant d’être suspendu subitement. Cela en raison de la crise sanitaire Covid-19 suivie par la fermeture des frontières.
Par ailleurs, on apprend par le biais de la même source que Québec subit les retards d’Ottawa dans la délivrance des résidences permanentes, poussant ainsi le gouvernement provincial à revoir ses objectifs annuels.