People – Irritée, la célèbre actrice, Bouchra Okbi, n’a pas mâché ses mots pour s’en prendre à la production de deux programmes télévisés ayant connu le succès en Algérie. Apprenez les détails, dans les paragraphes qui suivent.
Effectivement, plusieurs mésententes ont surgi récemment dans le monde artistique Dz. Une ambiance électrique a submergé, ces derniers temps, les plateaux des talk-shows et les réseaux sociaux. Au milieu de ce vacarme, l’actrice connue en Algérie, Bouchra Okbi a remis une couche en taclant des producteurs artistiques. Dzair Daily relate pour vous les détails dans ce numéro du jeudi 03 mars 2022.
En effet, l’artiste algérienne s’est manifestée récemment. Cela lors du forum artistique organisé par le média Al Hassad El Yaoumi. Dans son discours, la talentueuse actrice s’est offert une tranche de liberté de parole en évoquant une autre facette du septième art en Algérie. Elle a poussé un coup de gueule par rapport au paiement des acteurs Dz.
Ainsi, Bouchra Okbi s’est armée des mots les plus fermes pour s’en prendre à la production des œuvres artistiques « Ibtassim li dounia » et « La casa diel Kamel ». Plusieurs mois après leur diffusion, les deux programmes reviennent sur le tapis. En colère, la vedette de « Djemai Family » a déclaré que les producteurs en question ne lui ont pas versé sa rémunération.
Bouchra Okbi défend les droits des acteurs algériens
Loin de s’arrêter là, celle qui a interprété le rôle de Yasmine dans la série « Chahra » a accusé les producteurs de faire des bénéfices sur le dos des comédiens. En effet, l’attitude de ces cinéastes a fait sortir l’intervenante de ces gonds. Selon elle, le réalisateur d’un programme devrait commencer par verser d’abord la rémunération des acteurs avant de penser à soi. Cela afin de garder une bonne réputation professionnelle.
Par ailleurs, la jeune maman de 37 ans a dénoncé la situation « inacceptable », qui dure depuis longtemps. « Un comédien ne doit pas se justifier. Il n’est pas censé susciter la pitié où la compassion de la production pour se faire payer », a-t-elle déploré. Des mots très forts pour exprimer une colère face à ce souci auquel se confronte l’acteur algérien.
