Algérie – Un responsable au ministère de l’Éducation révèle comment se fera le passage du lycée à l’université par le biais du BAC 2022. Découvrez plus de détails à ce sujet, ce dimanche 21 novembre 2021.
Il semble que le prochain examen du baccalauréat sera différent des précédents. En effet, Belaouar Boualem, Inspecteur central au ministère de l’Éducation a révélé un éventuel changement. Et ce, dans le système de passage du lycée à l’université lors de l’examen du BAC 2022 en Algérie. Le responsable était invité ce matin sur l’émission, « Echorouk Morning ». Cette dernière est diffusée sur la chaîne Echorouk News TV.
Un rendez-vous dans lequel Belaouar Boualem a d’abord détaillé de nombreux points relatifs à l’éducation nationale. Il a parlé précisément des préparatifs au sein du ministère pour le prochain examen de baccalauréat. Selon ses révélations, la commission chargée de la réalisation des sujets entamera prochainement la conception.
Au cours de l’émission, l’orateur a soulevé un point d’une importance majeure pour les candidats à l’examen du BAC 2022. Celui du système du calcul de la moyenne de passage à l’université. Le responsable a souligné que le ministère étudie en ce moment un éventuel changement dans ce sens.
BAC 2022 : le passage se fera en comptabilisant la moyenne générale annuelle
Tout à fait, l’Inspecteur central au ministère de l’Éducation a indiqué que la tutelle étudiait une option liée au passage du secondaire à l’enseignement supérieur. Le nouveau système consiste à compter la moyenne générale annuelle plus celle obtenue à l’examen final. Cela afin d’obtenir la moyenne de passage.
Par ailleurs, Belaouar Boualem a affirmé que le ministère a lancé des formations au profit des concepteurs des sujets du baccalauréat. Le locuteur a précisé le but des formations. Il s’agit de pouvoir concevoir des sujets bien précis, loin de toute ambiguïté ou possibilités d’interprétation multiples .
Pour rappel, le ministre de l’Éducation nationale a insisté sur la nécessité de conformer l’examen du BAC aux normes internationales. Cela lors de son intervention au colloque national organisé par l’Inspection générale de l’Éducation nationale.