Algérie – Hier, le Conseil national économique, social et environnemental (CNESE) a évoqué son ambition de développer la construction de voitures électriques dans notre pays. Dzair Daily vous en dit plus ce jeudi 15 juillet 2021.
En effet, Rédha Tir qui n’est autre que le président du Conseil national économique, social et environnemental (CNESE) s’est manifesté récemment. Cela à l’issue d’un point de presse tenu ce mercredi 14 juillet 2021 à Alger. À notre tour, nous allons vous relater l’essentiel de ce qu’a été abordé lors de cette conférence. Notamment le sujet propre à la construction de voitures électriques en Algérie.
Ainsi, le CNESE a omis l’idée de bâtir une vraie industrie automobile. Cela dans une démarche plus éco-responsable et écologique en fabriquant une voiture dite « verte ». Comme son nom l’indique, celle-ci sera respectueuse de l’environnement et roulera à l’énergie électrique. Ce qui permettra, entre autres, de réduire de façon drastique les émissions polluantes.
En outre, selon la tutelle susmentionnée, « l’Algérie a tous les moyens pour concrétiser ce type de projets à dimension environnementale ». Par conséquent, « rien n’empêche les Algériens de nourrir une telle ambition ». C’est du moins ce que rapporte le site de l’APS dans son édition du mercredi 14 juillet 2021.
Construction de voitures électriques : le CNESE encourage les PME d’aboutir au projet
En effet, c’est ce dont nous informe la même source. Dans le détail, le Conseil national économique, social et environnemental (CNESE) reste à l’écoute des PME et des start-up nationales.
Notamment celles qui ambitionnent à réfléchir au projet de construction de voitures électriques, mais pas que. En effet, le conseil s’est aussi prononcé sur le développement de projets dans d’autres secteurs. À titre d’exemple, il a été cité lors du même point de presse, l’industrie pharmaceutique.
Revenons, maintenant, au sujet principal relatif à la fabrication des véhicules électriques. À propos de ce projet, Rédha Tir a insisté sur la nécessité de former des personnes qualifiées dans « le domaine de l’innovation et sa valorisation ». Cela, « dans le but de bâtir une véritable politique industrielle qui prend en compte les exigences environnementales ». C’est aussi ce dont a fait état la source susmentionnée.