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mercredi, 17 avril 2024
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Automobile en Algérie : Une redistribution des marques aux concessionnaires ?

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Algérie – Abderrahmane Achaibou voit dans la redistribution des marques aux concessionnaires automobiles une nécessité. Le PDG du groupe Elsecom a été dépouillé, sous le règne de l’ancien régime; de ses partenariats. Il faut rendre toute chose à qui de droit, peut-on déduire de ses propos.

Il est l’un des concessionnaires les plus expérimentés dans le secteur automobile en Algérie et avait à son actif de plusieurs marques. Mais, dit-il dans un entretien à Fil d’Algérie paru ce mardi, « nous avons été malheureusement dépossédés de nos marques ». Achaibou reproche aux « deux gouvernements de Sellal et Ouyahia » de lui avoir causé ce tort.

L’acteur dans le marché automobile raconte qu’il y a eu en Algérie « une redistribution arbitraire de ses marques » aux concessionnaires. « Kia pour Arbaoui; Ford pour Assiou; Suzuki pour Tahkout; Daewoo à Benali et Isuzu à Mazouz et Bairi ». Aujourd’hui, l’orateur souhaite que les autorités «consultent les professionnels de l’automobile ». Parmi eux, « les concessionnaires ».

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La consultation concernera « la confection du cahier de charges. Le but étant « de développer le marché et par la même occasion l’économie nationale ». Il a signifié sa pleine disposition à mettre ces compétences au service de l’État algérien. Cela dans la dynamique d’une « Algérie nouvelle ».

Le renouvellement ne se fera pas sans « une relance économique»; qui elle-même passe entre-autres par la réorganisation du marché automobile ». Cette dernière ne pourrait pas exclure la redistribution des marques automobiles; aux concessionnaires en Algérie. Par contre cette fois-ci avec « justice et justesse »; arrive-t-on à formuler selon les mêmes dires.

Les raisons derrière l’attribution des marques d’Achaibou; à d’autres concessionnaires automobiles en Algérie

En premier lieu, Achaibou évoque par exemple comme raison : Ses « oppositions à la confection d’un nouveau cahier des charges automobile de l’ex-ministre de l’Industrie; Abdeslam Bouchouareb » en l’occurrence. Celui-ci a exagéré dans l’ajout d’équipements de sécurité et de confort. Coût de cette fantaisie : 200.000 Da par véhicule ».

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Il mentionne donc en seconde position; son opposition « à l’obligation faite par la loi de finance (LF 2014). Le texte imposait aux concessionnaires de se transformer en constructeurs en 3 ans. Telle chose relève de l’utopie, estime le PDG. Il a même affirmé que cette exigence était inédite.

Achaibou soutien les mesures du gouvernement

L’intervenant déclare en effet son soutien aux mesures prises dans le cadre de l’importation en Algérie des véhicules neufs. Il cite alors celle exigeant de procéder à l’achat du véhicule dans le pays d’origine de sa fabrication

Abderrahmane Achaibou salue alors le président Tebboune pour cette mesure. Il estime qu’elle garantira la traçabilité du véhicule. Et elle nous évitera la surfacturation ».

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