Automobile – La Gendarmerie Nationale a publié un communiqué dans lequel elle dévoile les amendes relatives à une contravention en Algérie. Retrouvez plus de détails dans la suite de cet article du 17 mars 2022.
En effet, un communiqué publié par les services de la Gendarmerie Nationale sur sa page Facebook Tariki informe les citoyens que l’entrave à la circulation représente un délit grave. Cette contravention peut conduire le conducteur automobile en Algérie devant le tribunal. Le communiqué explique que toutes personnes bloquant délibérément la fluidité du trafic sur une voie ou y installant un obstacle. Le contrevenant est exposé à d’importantes sanctions.
Effectivement, le fait de placer un obstacle sur une voie ouverte à la circulation est considéré comme un délit. Celui-ci est puni par l’article 444 de la loi. À ce propos, le contrevenant est passible d’une amende. Celle-ci peut aller de 8.000 jusqu’à 16.000 dinars. Avec notamment le risque d’être confronté à une peine de prison allant de dix (10) jours jusqu’à deux (02) mois.
Au fait, le même organisme a fait référence à certains comportements des automobilistes algériens. Précisément, le fait de laisser des pneus endommagés sur les routes. Selon les mêmes services, ce comportement peut provoquer de terribles accidents, surtout la nuit. De ce fait, la GN appelle à éviter de tels agissements négatifs qui menacent également la sécurité des autres.
Conduire sans permis : quelles sont les sanctions ?
Dans un autre communiqué, la GN a averti les conducteurs contrevenants des risques et des peines qu’ils encourent en cas de conduite sans permis. Il faut savoir que la nouvelle loi stipule que dans le cas où un automobiliste commet une infraction. Son permis lui sera retiré pendant 10 jours. Période durant laquelle il devra s’acquitter de l’amende punitive. Cela avant de devoir récupérer son permis.
Mais si le contrevenant continue à conduire sans permis au-delà de ces 10 jours. Il sera passible d’une amende qui peut aller jusqu’à 50.000 dinars. Il risque aussi d’être confronté à une peine de prison allant jusqu’à un (01) an. La conduite sans permis en Algérie représente, en effet, un délit grave. Il s’agit en tout cas de ce que rapporte le quotidien arabophone Ennahar.