L’ami intime de l’épouse de Riyad Mahrez s’est plaint du déluge de « commentaires haineux » dirigés contre lui par des internautes algériens.
Sam Jones Cox, l’ami intime de Rita Johal, la femme du capitaine de l’équipe nationale algérienne Riyad Mahrez; depuis la publication d’une photo en sa compagnie sur Intagram. En effet, le jeune homme s’est plaint d’un « déferlement de réactions violentes contre lui », dépassant le millier de commentaires, de la part des internautes algériens qui ont jugé la photo « indécente ».
L’histoire commence lorsque Rita Johal décide de prendre l’envol vers l’une des stations touristiques les plus luxueuses au monde; à savoir l’île indonésienne de Bali, pour fêter le réveillon en compagnie de ses amis.
« 1000 messages en moins de 24h »
Rita a cependant suscité la colère des internautes algériens, en publiant hier, 30 décembre; une story sur Instagram en compagnie de deux amis à elle, avec comme titre « L’Algérien est hors jeu. [The Algerian is out] »; en référence à son mari, l’international algérien Riyad Mahrez; a rapporté le quotidien arabophone Ennahar.
La publication a rapidement fait le tour du web, et des centaines de commentaires, parfois « insultants et violents », ont été envoyés à Rita et à ses amis. Sam Jones Cox, l’ami intime de Rita a affirmé à titre d’exemple, avoir reçu plus de 1.000 messages en moins de 24 heures suite à sa photo en compagnie de l’épouse du capitaine de la sélection nationale algérienne; précise le média arabophone El Bilad.
« Ouch, la polémique suscitée par Rita qui apparaît sur nos photos. Vous êtes malades dans vos têtes ! »; a-t-il lancé sur sa story Instagram en faisant référence aux internautes algériens.
Ce n’est pas la première fois que Rita Johal suscite la polémique. L’été dernier, la femme de Mahrez avait fait la Une de la presse people anglaise, suite à un « supposé flirt » avec le boxeur américain Deontay Wilder dans une boîte branchée de Manchester; créant des remous sur la toile algérienne qui l’a vivement critiquée pour ses « turbulences ».