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mardi, 23 avril 2024
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Une Algérienne veut construire un village pour les nécessiteux (vidéo)

Publié le

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Algérie – Cette femme algérienne au grand cœur songe à construire un village afin d’aider et de protéger les nécessiteux. Dzair Daily vous raconte son engagement humanitaire absolument admirable. 

Aider les gens nécessiteux, c’est le but de la vie de cette dame exemplaire. Cette Algérienne aspire à construire un village entier qui permettra aux personnes dans le besoin d’y trouver refuge. 

En effet, le quotidien arabophone Echorouk est allé à la rencontre de cette engagée dans l’humanitaire. El hadja Alia Ben Nafla, de son nom complet, est bien connu dans la commune de Chlef, Sekaka en l’occurrence. Cela, par sa bonté et sa générosité.

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Elle ne se lasse jamais de subvenir aux besoins des plus démunis de sa commune. Leur venir en aide, c’est sa raison de vivre. « Il existe beaucoup de familles contraintes à dormir dehors », s’exprime-t-elle avec une voix tremblante. 

Un village d’espoir et de solidarité 

Il y a plusieurs mois, la très généreuse femme a vu tous ces citoyens sans-abris dans les rues de Sekaka. Dès lors, elle a su qu’elle devait agir. Après avoir construit un pont pour faciliter la circulation, El hadja Alia a décidé de se lancer dans une toute nouvelle mission humanitaire.

Celle-ci se révèle être la construction de maisons pour les nécessiteux. El Hadja Alia a expliqué, au micro de la chaîne précitée, les conditions dans lesquelles se trouvent les habitants de la commune. Avant la constitution du pont, ces derniers menaient un combat quotidien.

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Plus particulièrement, pendant les semaines largement pluvieuses. Par ce projet, l’artisane de l’humanitaire a permis aux écoliers et aux travailleurs de ne plus se retrouver les pieds dans l’eau chaque matin.

La femme qui ne compte pas ses dépenses quand il est question de porter secours

« Le pont actuel m’a coûté plus de 800 millions de dinars ». C’est là ce qu’elle a confié avec beaucoup d’émotions. Quand il s’agit d’aider les autres, la bienfaisante ne compte ni ses efforts, ni son temps et ni son argent.

Son amour pour l’entraide et la solidarité l’ont poussée à sauver cette ville qui était menacée par la crise économique et les conditions météorologiques. Il est à noter que cet être magnanime, El Hadja Alia, est phytothérapeute.

Elle traite les plaies de brûlures dans sa maison qu’elle a transformée en une clinique il y a quelque temps. Un bel exemple de ténacité, de courage et de générosité qui redonne du baume au cœur, c’est le moins que l’on puisse dire. 

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