Foot – Retrouvez, dans cette édition du samedi 1 octobre 2022, tous les détails liés aux supposés dégâts effectués par l’international algérien Youcef Belaïli dans son ancienne maison de location à Brest.
Le départ du désormais ex-ailier gauche du Stade brestois 29 alimente plusieurs débats. Il ne cesse de faire couler beaucoup d’encre. La résiliation du contrat de l’attaquant algérien, Youcef Belaïli, a été marquée notamment par une incroyable rumeur arguant qu’il a procédé au saccage de son ancienne maison à Brest.
Curieux de savoir si le Fennec a réellement commis cet acte déplorable ? Ne bougez pas ! L’équipe Dzair Daily vous expose la réponse à cette interrogation dans les lignes qui suivent. Les nouvelles à ce sujet ont été relayées par le quotidien arabophone Echorouk. Ce dernier cite l’agence France-Presse comme source.
En effet, les diverses plateformes sociales ont dernièrement répandu en masse une image choquante. Et cela, aussi bien en France qu’au niveau du territoire Dz. Un cliché qui prétendait illustrer l’état détérioré dans lequel le natif d’Oran aurait laissé son appartement de location situé en banlieue de Brest.
La publication a même été accompagnée de quelques mots décrivant le champion d’Afrique 2019 comme étant instable sur tous les plans. « Belaïli a laissé la maison dans ce sale état », peut-on en lire sous la photo en question. Cette histoire a donc la Toile en ébullition. Toutefois, la vérité n’a pas tardé à éclater pour trancher quant à la véracité des faits avancés.
Belaïli blanchi des accusations concernant le saccage de sa maison à Brest !
Après avoir passé les moteurs de recherche au peigne fin, la vérité est remontée à la surface. Il s’est avéré que l’image en question n’est nullement liée au domicile du membre de la sélection algérienne. Selon les médias suscités, la photo qui circule date de plusieurs années.
Elle remontre en réalité au mois de juillet 2017 où elle a été publiée sur des sites canadiens. De ce fait, l’Algérien Belaïli est désormais débarrassé des dernières rumeurs faites à son encontre. Quant aux détails, l’histoire de ce cliché est associée au cambriolage d’une résidence dans la ville de Sherbrooke, dans le sud du Québec, au Canada.
Selon le service de police de ladite ville, le coût des biens volés lors de cette effraction est approximativement estimé à 130 mille dollars. Là encore, il s’agit de ce que rapporte la source médiatique arabophone.
