People – L’artiste connue en Algérie, Zakia Mohamed, a dévoilé son intention de porter plainte contre le journaliste Rabah Allaoua pour diffamation. On expose pour vous les détails dans la suite de cet article.
Effectivement, ces derniers temps, une ambiance électrique a régné sur la scène artistique. De nombreuses altercations ont éclaté entre des chanteurs. Au milieu de ce chahut, l’artiste populaire en Algérie, Zakia Mohamed, a remis une couche en taclant le journaliste spécialisé, Rabah Allaoua. Dzair Daily relate pour vous davantage de détails, dans cette édition du lundi 21 mars 2022.
En effet, début mars, la chanteuse algérienne a accordé un entretien au reporter Rabah Allaoua. Dans son discours, Zakia Mohamed a donné son point de vue sur certains sujets d’actualité. Notamment, la détention provisoire des influenceurs algériens impliqués dans l’affaire Future Gate. Ainsi que le clash entre Naima Dziria et Manel Hadli. Les propos de l’artiste ont été diffusés par Echorouk TV.
Algérie : Zakia Mohamed tacle le journaliste d’Echorouk TV
Trois semaines après la diffusion de ces déclarations, l’interprète de « Ya li saken rouhi », s’est manifestée. Elle a en effet, accusé le journaliste spécialisé d’avoir « diffamé sa personne ». Pour ce faire, Zakia Mohamed s’est emparée de son compte Instagram officiel. Irritée, la femme algérienne a incriminé Rabah Allaoua d’avoir retiré des passages de son enregistrement. Selon elle, ses propos n’ont pas été rapporté dans leur intégralité.
« Vous n’avez nullement respecté la déontologie de votre profession », s’est-elle indignée. À travers la même publication, la protagoniste a fait part de son intention de s’en remettre à la justice. Et ce, dans le but de poursuivre le journaliste ayant « porté préjudice à sa réputation », explique-t-elle. C’est toujours selon les déclarations de la même chanteuse.
En outre, l’artiste Dz a tenu à rectifier ses dire au sujet de l’emprisonnement de Numidia Lezoul, Rifka et Stanley. « Je ne pourrai jamais me réjouir du malheur de jeunes détenus. Ce n’est pas de ma nature », s’est défendue la locutrice.