Algérie – Le ministre de l’Enseignement supérieur, Abdelbaki Benziane, a révélé hier la date de reprise des cours universitaires du deuxième semestre 2020. Les étudiants algériens regagneront donc les bancs de l’université à cette date.
Les étudiants universitaires en Algérie connaitront la reprise de leurs cours du deuxième semestre à partir du dimanche 23 août 2020; selon le ministre du secteur. C’est-à-dire d’ici un mois et demi. Le premier responsable de l’Enseignement supérieur dans notre pays l’a dévoilé ce samedi 4 juin; lors d’une sortie sur le terrain.
Cette dernière consistait en une visite de travail et d’inspection; qui a conduit le ministre dans la wilaya de Boumerdes. Le responsable a saisi l’occasion pour faire l’annonce en question; à l’adresse de la communauté universitaire nationale. Il a alors expliqué que le deuxième semestre de l’année universitaire en cours; reprendra le 23 du mois d’août prochain.
Le professeur Abdelbaki Benziane ne s’est pas contenté de communiquer la date de la reprise des cours. Il a également évoqué la date qui marquera la fin de l’année universitaire actuelle. Ainsi, le membre de l’Exécutif, récemment nommé à son poste de responsabilité; a précisé que la présente année universitaire arrivera à son terme vers la fin du mois d’octobre 2020.
Après la reprise des cours universitaires; octroi en Algérie de plus de bourses pour étudier à l’Étranger.
D’autre part, mais toujours dans le monde estudiantin; Benziane a fait état de la révision de la carte de formation. Celle de toutes les branches universitaires et spécialités. En outre, l’intervenant a parlé des intentions de son département ministériel; d’intensifier l’octroi de bourses pour étudier à l’étranger.
Benziane a indiqué donc l’ouverture de l’université; à l’environnement international. Ceci à travers l’attribution davantage de bourses pour les Algériens. Des bourses pour aller dans les universités étrangères. Le but étant de bénéficier des expériences scientifiques; et pédagogiques internationales.
L’Algérie financera, d’après ce qui vient d’être exposé; les études de plus d’universitaires de notre pays; à l’extérieur de nos frontières. Cette action devrait réjouir l’étudiant algérien. Il se résoudra même, vraisemblablement, à fournir des efforts supplémentaires; afin de prétendre au statut lui permettant de postuler à un tel concours.
