Algérie – Le premier ministre, Aïmene Benabderrahmane a écarté l’éventualité de recourir à la planche à billets ou à l’endettement. Dzair Daily rapporte pour vous davantage de détails à ce sujet, dans cette édition du vendredi 31 décembre 2021.
En effet, Aïmene Benabderrahmane qui n’est autre que le premier ministre a animé ce jeudi une conférence de presse. Cela au palais du gouvernement. Lors de ce rendez-vous, le ministre des Finances s’est penché sur la situation économique de notre pays. Dans son discours, il a réitéré son désaccord avec l’hypothèse de recourir à la planche à billets ou l’endettement en Algérie.
Effectivement, malgré la conjoncture économique, le premier ministre a écarté tout recours au financement non conventionnel en Algérie. Et ce, dans un avenir proche ou lointain. « On l’a dit et on le redit. L’Algérie ne recourra pas à la planche à billets ni au financement extérieur », a confirmé le conférencier. Il s’agit de toute manière de ce que rapporte le média arabophone Echorouk.
Algérie : le taux de croissance de l’économie nationale
Par la même intervention, le successeur d’Abdelaziz Djerad a commenté le dernier rapport de suivi de la situation économique de la Banque mondiale. Le responsable a estimé que le document de l’institution de Breton Woods contredit les récents rapports. On parle de ceux publiés par la même instance. Ainsi que d’autres organismes internationaux. « Concernant les points négatifs cités dans ce rapport, nous y répondrons à notre manière ».
Il est question des déclarations du même locuteur, relayées par le quotidien généraliste susvisé. Dans le même sillage, le ministre des Finances a affirmé que le taux de croissance de l’économie nationale est de 4,1 %. Faisant état d’une évolution ascendante de la situation économique en Algérie.
En outre, Aïmene Benabderrahmane a précisé un autre point. Il a fait savoir, en effet, que la situation économique en Algérie est une exception dans la région. Même en comparaison avec des grands pays. Soulignant que notre pays a su mobiliser les capacités de production locale. Telle Chose lui a permis de réduire les importations et d’éviter la planche à billet et l’endettement extérieur. C’est toujours selon la même source médiatique.
