Algérie – Se dirige-t-on à l’arrêt de construction des logements sociaux ? L’État renoncera-t-il aux différentes formules ? Découvrez la réponse du ministre par ici.
Le ministre de l’Habitat était en visite de travail et d’inspection, rapporte Ennahar. C’était dans la wilaya d’El Tarf. Il a ainsi supervisé la délivrance d’environ 1.000 logements AADL. 209 d’aides financières légalisées pour la construction de logements en milieu rural. Et 60 logements sociaux dans cette wilaya de l’Extrême-Est de l’Algérie.
Mohamed Tarek Belaribi a affirmé, au passage, que « l’État ne renoncera pas aux formules de logements qui surgissent de la déclaration du 1er novembre 1954. Cette déclaration qui a libéré le pays. Et qui a exigé que les conditions de vie soient telles que les Algériens jouissent d’une liberté et d’une indépendance totales ».
En outre, Mohamed Tarek Belaribi, lors de sa visite sur le site des 1.000 logements « AADL » de la wilaya d’El Tarf a poursuit son allocution. Il a donc assuré qu’il y aura une préparation de distribution d’autres quotas de logements avant la fin de l’année. On compte aussi avancer dans le lancement d’autres projets. Et donc la clôture du dossier « AADL » au niveau local.
Vers une accélération du rythme d’achèvement des projets en cours
Intéressons-nous maintenant le retard d’achèvement des projets. Le ministre de l’Habitat a souligné que le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a insisté plusieurs fois et à maintes reprises. C’est en ce qui concerne l’accélération du rythme d’achèvement des projets en cours de construction. Le même orateur ajoute que « des dates et une autre feuille de route ont été fixées ». C’est « pour que nous puissions être à temps », stipule le ministre.
Le membre de l’Exécutif a parlé des citoyens qui souhaitent payer les frais de leur habitation. Il a indiqué qu’il existe « une décision ministérielle conjointe entre les ministères des Finances, de l’Habitat, de l’Agriculture et de l’Intérieur. Elle prévoit de faciliter les affaires pour régler les logements bâtis sur des terres agricoles. C’est dans l’optique d’obtenir leurs contrats. Et pouvoir ainsi payer les frais ».