Algérie – Un point essentiel a été discuté durant l’entretien siégé à la présidence, en l’occurrence les réformes qui seront menées dans le secteur économique.
En effet, lors de la rencontre avec la famille de la presse nationale, le président de la république Abdelmadjid Tebboune a abordé le volet économique; indiquant que la politique devra être dorénavant au service de l’économie. Il a poursuivi en critiquant vivement la politique d’industrialisation menée par les gouvernements successifs.
« Le gonflage des pneus, ce n’est pas de l’économie, avec une usine avec 400 employés ! Même une start-up peut générer plus d’emplois. »; s’est-il indigné. « Je suis contre l’investissement lourd, car cela augmente notre dépendance de l’étranger vu que nous n’avons pas les qualifications d’ingénieries. De plus, l’industrie lourde nécessite plus de temps et de moyens. »; a-t-il ajouté.
Dans ce sens, Tebboune a exprimé son scepticisme envers l’industrie lourde et penche en faveur du développement des industries œuvrant dans le secteur de l’agroalimentaire; tout en s’appuyant sur la dynamisation de l’économie algérienne grâce aux start-ups dont le potentiel de création de richesses, d’emplois et d’exportation sont assurées, selon lui.
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