Énergie – Le groupe pétro-gazier algérien, Sonatrach en l’occurrence, découvre un énorme gisement de gaz dans le grand désert de l’Algérie. On expose pour vous tous les détails à ce propos, dans la suite de cet article du 28 juin 2022.
En plus des diverses richesses éparpillées un peu partout dans le Nord, l’Algérie possède un Sahara fortuné en ressources naturelles. Pour en ajouter à cela, le géant d’Algérie, Sonatrach, vient d’annoncer la découverte d’un immense gisement de gaz à condensat, dans le périmètre de Hassi R’Mel.
À travers un communiqué de presse, l’entreprise algérienne a révélé l’identification d’un potentiel considérable en hydrocarbures. Cette découverte a eu lieu au niveau du réservoir Lias Carbonaté « LD2 ». Et ce, dans le périmètre d’exploitation de Hassi R’Mel, à Laghouat.
En effet, ce champ est réellement immense. Son potentiel est d’ailleurs estimé, au minimum, à une valeur comprise entre 100 et 340 milliards de mètres cubes de gaz à condensat. À ce propos, le même écrit précise que ces volumes représentent l’une des réévaluations des réserves les plus importantes des 20 dernières années.
Par ailleurs, le groupe Sonatrach a souligné la mise en place d’un programme particulier afin de confirmer les estimations en valeurs. Par la même occasion, l’entreprise a indiqué qu’elle travaille sur une production journalière accélérée à hauteur de 10 millions de mètre cubes. Cette réalisation entrera en vigueur à compter du mois de novembre de l’année en cours.
Énergie : Sonatrach fixe son objectif pour l’année 2022
Grâce à cette production, la première entreprise du continent africain atteindra sans doute ses objectifs financiers. Ceux qu’elle s’est fixés au titre de l’année 2022. Au terme de l’année courante, le PDG du groupe pétrolier et gazier Sonatrach s’attend à des recettes considérables. Celles-ci sont de l’ordre de cinquante (50 ) milliards de dollars.
Ce qui favorise, en outre, ces expectations peut être expliqué par le conflit en Ukraine. Effectivement, l’invasion russe dans ce pays a engendré des tas de répercussions sur les divers marchés mondiaux, notamment de l’hydrocarbure. D’autant plus que le gouvernement de Vladimir Poutine alimentait une large part des consommations mondiales en la matière.
Effectivement, la décision des pays de l’Union Européenne à bannir la Russie en général et ses hydrocarbures en particulier offre plus de chances à l’Algérie à réaliser ses gains aisément. L’exportation des hydrocarbures DZ se verra certainement augmentée pour répondre à la demande du marché.
