Algérie – La régie nationale des Douanes de la wilaya de Sétif a réussi à saisir 5 quintaux de produits périmés de fabrication de gâteaux et crèmes glacées. Dzair Daily vous apporte plus de détails à cet égard dans cette nouvelle édition du 11 août 2022.
Selon ce que rapporte la page officielle du Journal El bilad sur Facebook, près de 5 quintaux de produits de fabrication de gâteaux et de crèmes glacées périmés ont été saisis, hier à Sétif. Ainsi, si vous voulez en savoir plus, vous n’avez qu’à lire l’intégralité de cet article. En fait, il s’agit entre autre de la crème chantilly, utilisée dans la fabrication de confiseries et de rafraîchissements.
Chose qui peut causer plusieurs complications pour la santé des consommateurs. De ce fait, l’opération a eu lieu au niveau de la Route nationale n° 75. Dans la région de la commune de « Hammam Sokhna ». Pour rappel, cette dernière est une zone de transit pour les opérations de contrebande en direction de l’Est et du désert.
Après avoir suspecté le véhicule utilitaire, les douanes ont fouillé la cargaison, où des sacs de 25 kg et des seaux de tailles différentes ont été trouvés. Après avoir enquêté sur le contenu des seaux et des sacs, il s’est avéré qu’il s’agit d’un produit périmé. D’ailleurs la date d’expiration remonte à 2018. Et ce n’est pas tout ! La marque du produit en question est d’origine italienne entrée en Algérie en contrebande.
Le contrebandier a vendu près de 40 quintaux dudit produit
Une fois le contrebandier conduit au siège de douanes afin d’accomplir la procédure, les autorités responsables ont constaté que le concerné ne possède pas de document pour le transfert de ces produits. En sus, le suspect a déjà vendu près de 40 quintaux de cette matière. Entre autres, dans les wilayas de Blida et Aïn Témouchent.
En effet, le détenu était de la wilaya d’Oran en route vers Batna pour vendre le reste des produits. De ce fait, les produits transportés et le véhicule ont été confisqués et mis en fourrière. Ainsi, il est prévu que le dossier sera déféré au procureur de la République. D’ailleurs la taxe pénale serait d’une valeur de deux milliards de centimes.
