Algérie – Depuis que le gouvernement a annoncé le retour de l’importation des véhicules de moins de trois ans, on parle beaucoup d’une baisse éventuelle quant aux prix des voitures. Alors, serait-ce possible ? Dzair Daily vous apporte plus de détails à ce sujet dans les lignes qui suivent.
En fait, le retour vers l’importation des voitures de moins de 3 ans a fait couler beaucoup d’encre, ces jours-ci. Face à la flambée des prix qui a régné longtemps sur le marché des voitures en Algérie, plusieurs personnes estiment que la baisse des prix ne va pas tarder à arriver ! De leur part, les revendeurs estiment que ce scénario est peu probable.
Ainsi, si vous voulez en savoir plus, nous vous invitons à lire l’intégralité de cette nouvelle édition du 17 octobre 2022. Tout d’abord, il convient de rappeler que le ministère de l’Industrie a signé un accord avec le groupe automobile multinational Stellantis. En effet, cet accord stipule la construction d’une usine pour la fabrication des voitures à Oran.
À cet effet, nombreux sont ceux qui s’attendent à un effondrement des prix des engins à quatre roues. Cette baisse serait, selon eux, équivalente à plus de 1.000.000 DA. Une somme jugée abusive de la part des revendeurs des voitures. Afin d’affirmer ou d’infirmer ces hypothèses, Dzair News a sollicité l’avis des revendeurs à ce sujet.
Voici l’avis des courtiers quant aux nouvelles décisions du gouvernement
Selon ce que rapporte le média suscité, les nouvelles mesures entreprises par le gouvernement algérien ne vont pas affecter les prix des voitures. Dans le détail, l’un des courtiers estime que la valeur de la baisse n’atteindrait pas la barre des 500.000 DZD. Au sujet des voitures importées, le même interlocuteur a fait savoir que celles-ci ne seront pas à la portée de tous les portefeuilles.
Cela, en tenant compte des prix pratiqués à l’étranger et des taxes imposées. Enfin, les principaux concernés ont réaffirmé que les fluctuations du marché des véhicules toucheront tous les commerçants. De ce fait, en qualité de revendeur, l’interviewé a indiqué qu’il assumerait les pertes en cas de crise. Selon lui, cela correspond aux particularités du marché des voitures.