Algérie – Le ministre de l’Industrie s’est exprimé, récemment, sur les prix des voitures importées. Pour les curieux, ne bougez pas ! On vous en dit plus, juste ci-dessous.
En effet, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar s’est manifesté, ce mardi. Cela afin d’aborder plusieurs sujets relatifs à son domaine d’activité. Parmi eux, le sujet épineux des voitures importées en Algérie, tout en parlant de leur prix. Vous êtes intéressé et vous voulez en savoir davantage ? Ça tombe bien ! On vous livre, dans ce nouveau numéro de Dzair Daily, plus de détails à cet égard.
En fait, le premier responsable du secteur de l’Industrie en Algérie a voulu, hier, pendant sa conférence de presse, rassurer les citoyens désireux d’acquérir une voiture. Cela, en affirmant que les prix des véhicules importés seront « raisonnables » lorsque le marché sera ouvert aux importations. En d’autres termes, ce projet de grande envergure sera soumis à la loi de l’offre et de la demande.
« Lorsque les voitures entreront sur le marché, les prix seront contrôlés par la loi de l’offre et de la demande », explique le ministre susmentionné lors d’une visite de l’exposition alimentaire en marge de la célébration de la Journée mondiale de l’alimentation. C’est ce dont nous informe le quotidien arabophone Echorouk dans son récent numéro.
Ahmed Zeghdar parle production en Algérie
D’autre part, Ahmed Zeghdar s’est aussi prononcé sur la question de la production d’huiles essentielles et aromatiques. Il a, en outre, révélé qu’une mesure gouvernementale sera mise en œuvre prochainement. Celle-ci servira à régler la situation des personnes actives dans ce domaine. En plus de réglementer ses lois.
En ce qui concerne la distribution et le conditionnement des denrées alimentaires, le ministre, lors de son passage dans le complexe agro-alimentaire « AGRODIV », a souligné la nécessité de renforcer les points de vente. Et ce, en instaurant 100 nouveaux points de vente pour la branche « DICOPA », notamment dans le sud. Ce qui s’ajoutera aux 380 points de vente qui existent déjà, actuellement.
On conclura par le sujet de la production d’huile de table. Celle-ci avoisinerait les 400 tonnes par jour, selon le haut fonctionnaire algérien. Il appelle, par la même occasion, à diversifier l’offre avec divers produits alimentaires commercialisés dans des emballages de différents poids pour équilibrer le marché et intensifier l’offre des produits subventionnés. C’est ce dont a fait état la source susmentionnée.