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mercredi, 24 avril 2024
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Algérie : les prix des fruits et légumes poursuivent la hausse

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Algérie – Hausse vertigineuse des prix des fruits et légumes sur le marché algérien. Le cauchemar perdure, titrent des médias nationaux. 

Le Ramadan touche à sa fin, et pourtant l’affolement des prix des fruits et légumes continue en Algérie. Bien au contraire, ils ont même doublé au cours de ce mois de mai, censé être un mois de récolte. L’inflation n’a pas été sans conséquence sur le pouvoir d’achat des Algériens. Certains se retrouvent endettés. Le citoyen algérien subit depuis un moment déjà les répercutions de ce phénomène. Echourouk s’est penché là-dessus

L’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) signalé aux autorités compétentes cette tendance haussière. Le prix de la pomme de terre oscille entre 100 DA et 130 DA. Tandis que le navet atteint les 200 DA le kilogramme. Les tomates ne sont cédées qu’à 100 dinars. 

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D’autre part, concernant les fruits de saison, leur prix n’est pas moins de 200 dinars le kilogramme. La viande blanche n’est pas à l’abri non plus. En effet, le prix d’un kilo atteint le pic, à 470 dinars. Sans parler de l’escalope qui a dépassé le prix de 1.150 DA. Même son de cloche du côté des étales des produits alimentaires industriels tels que les jus, les boissons gazeuses, le fromage. Eux non plus, n’ont pas été épargnés par cette hausse.

Inexplicable hausse des produits alimentaires sur le marché algérien

Les Algériens sont vraiment inquiets, voire dépassés. Les prix sont hors de portée de la bourse moyenne. Après une année de Covid aux conséquences lourdes sur le plan social, vient ce renchérissement des prix des produits alimentaires. Pour de nombreux consommateurs cette spéculation est due au manque de régulation du marché.  

Pour plus d’informations, nous avons rapporté les propos du président de l’association de protection du consommateur El Aman, Hassan Menouar. Il s’est prononcé à l’issue d’un entretien accordé au quotidien arabophone susmentionné. Selon lui, cette hausse était prévisible en raison de l’absence du contrôle sur les prix. 

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D’un autre côté, le porte-parole, invite le ministère du Commerce à procéder au contrôle. D’après lui, la tâche de la régularisation de ces prix revient au ce département ainsi que le contrôle et le suivi permanent de l’opération de distribution, du marché de gros jusqu’à celui du petit épicier du coin.

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