Algérie – La crise relative au manque de la liquidité au niveau des bureaux de poste effectue son retour dans un certain nombre de wilayas dans notre pays. Un article d’un quotidien national arabophone relate les péripéties des clients en quête de leurs salaires ou pensions.
Ces jours-ci, la crise liée à la pénurie touchant à la liquidité dans les bureaux de poste s’est fortement accentuée dans les différentes wilayas de l’intérieur en Algérie. La pénurie en question s’est même étendue aux agences bancaires dans les wilayas de Guelma et d’Annaba dans le nord-est de notre pays, rapporte Echorouk ce 20 mars 2021.
Les sièges des bureaux de poste et des agences bancaires assistent, ces jours-ci, à de longues files d’attente de citoyens qui doivent, quotidiennement, se lever extrêmement tôt le matin tous les jours. Cela pour se diriger vers les bureaux de poste ou les agences bancaires, dans l’espoir d’avoir la possibilité de retirer leurs salaires mensuels.
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Le manque de liquidités ne se limite plus aux dates des versements des salaires mensuels des différents corps et secteurs d’activité. Il n’est plus restreint aux pensions des retraités. Mais récemment, au grand dam des citoyens, les liquidités qui se font rares sont devenues un phénomène quotidien.
Des centaines de femmes et d’hommes de divers âges patientent pendant de longues heures. Ils se tiennent rassemblées devant les bureaux de poste ou les agences bancaires. Cette scène se répète à l’aube chaque jour de la semaine. L’organe de la presse écrite rédige qu’il n’existe aucun exposé des éléments expliquant cette situation de pénurie.
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Plus loin que ça, le titre d’expression arabe écrit que ce qui est régulièrement su est le nombre de sommes d’argent qui ont fait l’objet de retraits. Elles sont notoires, souligne alors le journal. Toutefois, Echorouk s’interroge, dans son article de ce samedi, sur l’aspect qui porte sur la causalité.
Le média invite, de cette façon, à traiter des raisons du manque de liquidité dans les bureaux de poste. D’autant plus que le Ramadan est à nos portes. Ce mois sacré nécessite, plus que toute autre période de l’année, nécessite une disponibilité des liquidités, conclut la même source médiatique.