Énergie – Les richesses de l’Algérie en matière d’énergie caracolent à la première position au niveau mondial avec le champ solaire le plus étendu. On vous expose davantage d’éléments à ce sujet dans cette édition du 11 octobre 2022.
La quatrième réunion annuelle du dialogue politique de haut niveau sur l’énergie entre l’Algérie et l’Union européenne (UE) n’a, en effet, pas manqué de mettre en exergue le potentiel incroyable du pays dans le secteur énergétique. L’Algérie a d’ailleurs été reconnue comme étant une source incontournable de l’énergie puisque le territoire national se révèle le plus grand champ solaire au monde.
Effectivement, le sol DZ compte beaucoup plus qu’un type de ressources renouvelables. Outre les énergies fossiles qui démarquent le pays, l’Algérie dispose également d’une énergie solaire importante. Chose qui a ainsi incité le commissaire européen à l’énergie d’accentuer le renforcement des travaux de coopération avec les autorités algériennes dans ce domaine.
En marge de la susdite réunion, la porte-parole a souligné que l’Algérie est significativement riche en matière d’énergie solaire. Le pays a alors toutes ses chances de développer ce secteur. C’est pourquoi l’Union européenne s’apprête à fournir toutes les connaissances techniques requises. Et cela, dans la finalité de consolider les collaborations avec l’Algérie en termes d’énergies renouvelables.
Énergie : l’Algérie dans le collimateur de l’UE
Par ailleurs, la locutrice a évoqué un nouveau partenariat entre l’Algérie et l’Union européenne. Il s’agit d’une alliance qui s’annonce pour bientôt concernant l’importation du gaz naturel algérien vers l’union. Le commissaire a, en effet, affirmé la volonté des pays membres de l’UE à entamer ce pas avec l’Algérie. D’autant plus que celle-ci se voit un partenaire sûr et fiable dans le domaine énergétique.
Depuis l’invasion russe en Ukraine, le vieux continent traverse une crise aiguë, notamment en matière de gaz. Dans ce sillage, l’intervenant a indiqué que l’Union Européenne enregistre d’énormes pertes en gaz naturel. À savoir, 155 milliards de mètres cubes. Ce qui présente ainsi, selon la même locutrice, une chance pour l’Algérie de conquérir ce marché.