Démographie – Le nombre de la population en Algérie en 2021 aurait atteint la barre des 45 millions d’habitants. Plus d’informations dans l’article présent, ce 12 juillet.
En effet, l’Algérie a enregistré un nombre de la population qui s’élèverait à 45 millions d’habitants en 2021. Selon le directeur de la Population au ministère de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière, Omar Ouali, les Algériens aurait franchi le seuil des 45 millions d’habitants en ce mois de juillet. Le quotidien arabophone Echorouk relate l’information qu’on reprend ce 12 juillet.
Effectivement, ce constat démographique a été dressé dimanche par le responsable au sein du ministère de la Santé. C’était lors d’une conférence de presse au siège du ministère de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière. Il s’est penché sur les dernières données de l’évolution de la population algérienne.
Si l’on se fie aux informations rapportées par la même source médiatique, et selon les statistiques exposées par Omar Ouali, le taux de croissance aurait reculé, comparé aux années précédentes. Il explique cette baisse par le recul qu’a connu le taux de nuptialité. Celui-ci était de 10 pour chaque 1.000 habitants et qui aurait reculé jusqu’à entre 7 et 8 pour 1.000 habitants.
Selon Omar Ouali, le taux de naissance et celui des décès ont baissé aussi
Par ailleurs, le même responsable a avancé qu’un taux de 1 million et 14 mille naissances avait été enregistré en l’année 2019. Un taux relativement bas, selon lui. C’est en le comparant à l’évolution importante qu’a connu la natalité lors des années antérieures dans notre pays. Aussi, il indique dans son rapport que le taux des décès a également baissé selon les dernières statistiques.
Il va sans dire que depuis une décennie, l’évolution démographique dans le pays a connu beaucoup des hauts et tout récemment des bas avec le tout nouveau constat posé par le directeur de la Population au ministère de la Santé. Le nombre de naissances était largement au-dessus de la moyenne durant les années précédentes.
La politique de planification familiale et de régulation de naissances adoptée lors de ces années-là avait donné des résultats spectaculaires. Seulement, la baisse du volume des naissances a influé sur le taux brut de natalité.