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mardi, 23 avril 2024
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Algérie : Naima Salhi ciblée par une nouvelle procédure judiciaire

Publié le

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Algérie – Une plainte déposée contre la présidente du PEP, Naima Salhi, est en phase d’instruction par la justice algérienne.

« Incitation à la haine raciale et appel au meurtre », voici l’intitulé de la plainte dirigée à l’encontre de la députée Naima Salhi, plainte qui a pour conséquence une procédure d’instruction activée par les autorités judiciaires, d’après un communiqué rendu public par trois avocats, à savoir Me Salim Chait, Me Kader Houali et Me Sofiane Dekkal.

En effet, des suites d’une convocations le 3 mars dernier, Me Houali et Me Chait, tous deux avocats en fonction, se sont rendus ce jeudi 5 mars, à la brigade de recherche du groupement de gendarmerie de Cheraga, où il leur a été expliqué que la plainte émise à l’encontre de Naima Salhi pour “incitation à la haine raciale et appel au meurtre” était désormais prise en charge par la justice.

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« Après plus de 8 mois d’attente où notre plainte était perdue entre deux juridictions, l’instruction est enfin engagée contre cette délinquante politique qui ne cesse de faire parler d’elle, malgré la fermeture de ses deux pages officielles. », ont fait savoir les trois avocats.

Fin de l’impunité pour Naima Salhi ?

D’après les déclarations récentes des trois avocats partis en croisade contre Naima Salhi et ses sorties médiatiques plus que douteuses, celle-ci serait vraisemblablement « protégée », sous la tutelle d’une puissance inconnue lui offrant une immunité et la laissant impunément enfreindre les lois censées protéger et encadrer la liberté d’expression. 

Toute cette affaire a eu lieu en plein débat autour du projet de loi contre la haine et la discrimination, que le conseil des ministres vient d’approuver. Effectivement, face à la montée des discours racistes et haineux dans la société algérienne, particulièrement sur les réseaux sociaux, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a instruit le gouvernement ordonné son exécutif à mettre en place une loi criminalisant les discours de haine en Algérie.

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Rappelons par ailleurs que la députée controversée et présidente du parti de l’Équité et de la Proclamation (PEP), s’est acharnée contre la langue Amazigh en la traitant de « dialecte dépassé visant à semer la fitna dans le rang des Algériens » ou encore de langue morte.

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