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jeudi, 28 mars 2024
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Algérie : Montant des devises échangées sur les squares selon Mesdour

Publié le

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Algérie – Le marché parallèle ne cesse de prendre de l’ampleur en Algérie, d’autant plus que le montant des devises circulant sur les squares semble de plus en plus exorbitant, d’après Fares Mesdour.

Intervenant sur la chaîne Beur TV, ce lundi 22 mars 2021, au sujet de ce qu’on appelle l’économie souterraine et comment réussir à la combattre, l’économiste Fares Mesdour estime que ce marché prend de plus en plus de place en Algérie, notamment les squares qui connaissent des mouvements de sommes de devises très importantes.

En effet, le marché parallèle englobe toutes les activités de production de biens ou de services cachées des autorités. Cela dans le but de fuir les impôts et les pénalités et ne pas se plier aux contraintes de la réglementation. Mais aussi éviter de se soumettre aux procédures administratives.

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| Lire aussi : Devises en Algérie : « Réguler le Square au lieu de l’éliminer » suggère Lalmas

En Algérie, les commerçants actifs en dehors de la sphère formelle et en contravention avec les lois en vigueur sont nombreux. Ces derniers estiment que ce qui les fait fuir vers le parallèle, c’est les impôts et les pénalités de retard appliqués pour les différentes activités.

À son tour, le marché clandestin de la devise existe depuis des lustres en Algérie, faute de non-disponibilité de bureaux de change dans le pays. L’économiste Fares Mesdour déclare que ce marché, plus communément appelé le square, est dominant dans le pays. Il indique même qu’une quantité très importante de devise y est échangée.

| Sujet Connexe : Devise en Algérie : « La surfacturation alimente le square », affirme un expert

L’intervenant parle de 14 milliards de dollars, comme montant de devises échangées dans les squares en Algérie. Une somme faramineuse qui circule en dehors du circuit économique officiel. Les raisons sont multiples et différentes d’un commerçant à un autre.

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Cependant, il n’en demeure pas moins vrai de constater que la majorité estiment que la principale contrainte. Celle qui les pousse à ne pas se plier aux règles et pratiquer légalement leur activité serait les impôts. Certains considèrent ces prélèvements comme abusifs.

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