Algérie – une avancée significative dans le paysage politique et religieux de l’Algérie, le président Abdelmadjid Tebboune a nommé Mohamed Hassouni en tant que conseiller spécial pour les affaires religieuses.
Dans un mouvement stratégique et révélateur, le président de l’Algérie, Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce lundi, à la nomination de Mohamed Hassouni au poste de conseiller spécial pour les affaires religieuses. Cette nomination, hautement symbolique, s’inscrit dans un contexte où les questions de foi et de pratique religieuse occupent une place centrale dans la société algérienne.
Mohamed Hassouni, qui avait précédemment occupé la position de chargé de mission à la présidence de la République, a été officiellement promu par un décret présidentiel en date du 19 avril 2021. Ce décret a été publié dans le 33ème numéro du Journal Officiel, marquant ainsi sa prise de fonction effective.
L’expérience de Mohamed Hassouni dans les affaires gouvernementales n’est pas récente. Avant cette nomination, il a représenté à plusieurs reprises le président Abdelmadjid Tebboune lors d’événements importants. Soulignant son rôle croissant dans les cercles politiques algériens. Sa participation à diverses rencontres et réceptions avec des responsables et des chefs religieux africains témoigne de sa compétence et de son aptitude à gérer des questions sensibles et complexes.
Algérie : Mohamed Hassouni, nouveau conseiller de Tebboune
La nomination de ce responsable est perçue comme un pas en avant dans la consolidation des relations entre l’État et les institutions religieuses en Algérie. Sa responsabilité couvre non seulement les affaires religieuses mais aussi la supervision des Zawiyas (confréries religieuses) et des écoles coraniques, des institutions centrales dans l’éducation religieuse et spirituelle en Algérie.
Ce mouvement stratégique de la part du président met en lumière la volonté de l’État algérien de renforcer son engagement dans la gestion des affaires religieuses. Il s’agit d’une étape significative vers une intégration plus poussée des dimensions spirituelles et religieuses dans le cadre de la gouvernance nationale. Reflétant ainsi les aspirations et les valeurs de la société algérienne dans son ensemble.