Foot – Le président de la Jeunesse sportive de Kabylie, Cherif Mellal en l’occurrence, ne compte pas prolonger le contrat de l’entraîneur de la JSK, Denis Lavagne en raison de la relation tendue entre ce dernier et le responsable du club. Plus de détails, ce jeudi 29 juillet.
Moins de trois semaines depuis la défaite de la JSK contre le Raja Casablanca, en finale de la Coupe de la Caf, le président du club prévoit le renforcement de l’effectif. Il pense à des joueurs de l’équipe réserve. Ainsi que des footballeurs des divisions inférieures. Cela, contre les désirs de l’entraîneur de l’équipe. Ce qui laisse entendre que le président de la JSK, Cherif Mellal, ne souhaite plus poursuivre avec le technicien français, Denis Lavagne.
En effet, le dirigeant de la JSK songe aux joueurs de l’équipe réserve et ceux des divisions inférieures pour renforcer l’équipe des Canaris. Cela va à l’encontre des désirs de l’entraîneur français, Denis Lavagne. Telle chose est considérée comme un message direct au coach de la Jeunesse sportive de Kabylie pour le pousser à quitter le club, en fin de saison. C’est ce que rapporte le média Echorouk qui cite une source proche de l’équipe.
Effectivement, la relation entre Cherif Mellal et Denis Lavagne n’est pas à son apogée. Cela, en raison des conditions formulées par l’entraîneur pour continuer à la tête du staff technique. Il avait réclamé la régularisation de la situation financière des joueurs. Ainsi que de soutenir l’équipe avec au moins quatre (04) joueurs. Selon la même source, ces exigences seraient à l’origine de son licenciement du club de la JSK.
La JS Kabylie sanctionnée par la FIFA
Il convient de signaler que l’équipe des Canaris a été sanctionnée par la FIFA dans l’affaire qui l’oppose à Fakhri Boultif, l’ancien adjoint de l’entraîneur tunisien Aymen Zelfani. Le technicien tunisien a été, pour mémoire, licencié. Cela dés l’arrivée de l’ancien coach Youcef Bouzidi, à la barre technique. Ce dernier avait, en effet, exigé de ramener son propre staff.
Ainsi, La JS Kabylie est condamnée à verser une indemnité de 525 millions de centimes, pour licenciement abusif. La Fédération internationale de football association a accordé un délai de trois (03) semaines au plus tard. Cela, afin de régler la somme. Il s’agit là aussi de ce que mentionne la même source médiatique, dans son édition de ce mercredi.