Algérie – Pour éclaircir le flou qui règne autour de son ancien clash adressé à Stanley, l’influenceuse algérienne, Lyna Classy Girl est revenue sur l’affaire. Elle explique ce qui s’est passé entre les deux de A à Z. Voici tout !
Avec deux grandes communautés sur Instagram, les deux influenceurs algériens se sont envoyés plusieurs clashs il y a quelques mois déjà. Alors que l’affaire a été reléguée aux oubliettes, le feuilleton Lyna Classy Girl – Stanley vient de connaître un nouvel épisode sur la toile en Algérie.
L’occasion s’est enfin présentée pour que l’influenceuse puisse mettre un peu de soleil dans le brouillard d’incertitude qui règne autour de l’affaire. En effet, Lyna Classy Girl est revenue sur les véritables raisons qui se parent derrière son conflit avec Stanley lors de son passage sur le plateau d’Echorouk TV ce mercredi 17 février 2021.
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En préambule, l’influenceuse a fait en sorte de préciser que l’affaire remonte à des mois déjà. Selon ses dires, il ne s’agit pas d’un seul problème mais de plusieurs. Ceux-ci sont restés irrésolus jusqu’à ce qu’elle n’a plus pu ronger son frein. Lyna a par la suite expliqué que le nœud de l’affaire est liée à l’histoire du « Blackface ».
Lyna et d’autres acteurs algériens ont, pour rappel, partagé des photos pratiquant cette tendance. La jeune instagrameuse poursuit et indique : « Sur TikTok, Stanley a partagé une vidéo dans laquelle il a parlé du Blackface et de moi. J’ai préféré ne pas commenter là-dessus ».
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« Je me suis tout simplement désabonnée de son compte Instagram », affirme-t-elle. « Après vingt jours, il a partagé une autre story. Dans cette dernière, Stanley s’est moqué de moi devant tout le monde. Il aurait dû m’envoyer un message pour m’expliquer que j’ai commis une faute en partageant une photo de moi avec le Blackface », ajoute-t-elle.
« C’est pour tout ça que je l’ai clashé. Je ne regrette pas ce que j’ai dit », précise-t-elle. Lyna Classy Girl s’est aussi expliquée au sujet du Blackface. « J’ai supprimé la photo en question. Néanmoins, je suis toujours convaincue que je n’ai pas commis de fautes. Cette pratique est interdite en Amérique et non pas en Algérie », conclut l’Algérienne.
