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jeudi, 21 septembre 2023
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Algérie : Karim Tabbou et Amira Bouraoui retrouvent leur liberté

Publié le

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Algérie – Les deux figures emblématiques du mouvement protestataire en Algérie, Hirak, Karim Tabbou et Amira Bouraoui, remis en liberté provisoire par la justice ce jeudi 2 juillet 2020.

Tous deux activistes et engagés dans « la révolution du sourire » en Algérie, Hirak, Karim Tabbou et Amira Bouraoui bénéficient d’une remise en liberté provisoire. Le verdict concernant Tabbou provient de la chambre d’accusation près la cour d’Alger.

Cela est intervenu en réponse à la demande de ses avocats, selon maitre Abdelghani Badi. La décision relative à Bouraoui appartient, pour sa part, à la chambre d’accusation près la cour de Tipaza. Les deux détenus quittent la prison de Koléa aujourd’hui. 

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L’homme a été arrêté le 26 septembre 2019 et condamné en appel à un an de prison ferme. La dame, quant à elle, a subi l’arrestation le 17 juin dernier et a également écopé d’un an de prison ferme.

Le premier est militant et fondateur d’un parti non agrée, l’UDS en l’occurrence. Alors que la seconde est activiste politique et membre fondatrice du mouvement Barakat; levé contre la représentation de Bouteflika en 2014 déjà.

Liberté provisoire pour Tabbou et Bouraoui, et grâce présidentielle pour d’autres détenus en Algérie

Il y a lieu tout de même du report du procès en appel de la femme médecin au 24 septembre prochain. D’ici là, une chose est sûre du moins : Bouraoui jouira de toute sa liberté. Le chef de parti aura, lui aussi, à comparaitre de nouveau devant le juge. 

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La Présidence a par ailleurs rendu public un communiqué hier. Le président Tebboune « a signé aujourd’hui un décret présidentiel qui comprend des mesures d’amnistie; à l’occasion du 55e anniversaire de la fête de l’indépendance et de la jeunesse ».

Le décret parle d’une amnistie totale des personnes emprisonnées; et définitivement condamnées à la date de signature dudit décret. Les noms des intéressés figurent sur le document. Il s’agit de six (6) jeunes hommes âgés entre 22 et 32 ans. Des jeunes hirakistes donc. Ils sont tous les six amnistiés.

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