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jeudi, 25 avril 2024
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Algérie : Vers l’expansion du marché automobile Algérien en 2020 ?

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Algérie – Alors que le marché automobile a connu une régression ces derniers mois, celui-ci est appelé à remonter la pente dans les mois à venir, suite aux nouvelles mesures annoncées par le ministre de l’Industrie.

Face au déficit qu’a subi le marché national de l’automobile, les autorités publiques tentent de remédier à cette crise. En effet, le ministre de l’Industrie a exprimé son intention d’améliorer le champ d’action des usines de montage en fournissant un nouveau cahier de charges qui sera prêt d’ici avril 2020, en renforçant le cadre d’activité de toute l’industrie automobile.

« Il ne s’agit pas d’un cahier des charges pour le montage automobile, mais un cahier des charges pour lancer une véritable industrie de l’automobile. », a confié Ferhat Ait Ali Braham lors de son passage sur les ondes de la radio nationale. Il a expliqué, dans ce sens, que ledit cahier des charges répondra aux conditions des investisseurs sérieux qui ont la volonté de construire une véritable usine de production de voitures en Algérie.

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Outre l’industrie de construction et de montage automobile, le ministre a fait savoir qu’un comité ministériel composé du ministère des Finances, de l’Industrie, du Commerce, de l’Intérieur et des Affaires étrangères, est en train d’élaborer un décret ministériel qui définira les dispositifs à suivre pour importer des véhicules et des voitures d’occasion (de moins de 3 ans). Une mesure qui devra entrer en vigueur avant la fin du mois en cours, a-t-il promis. 

Vers l’assouplissement de la règle 51/49 dans l’investissement

En effet, le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali s’est également prononcé sur la nouvelle politique relative aux exigences du taux d’intégration qui devra désormais être supérieur à 30% ainsi qu’un financement initial en capital de 30% ou plus de l’investissement. 

Il a précisé par la même occasion, que ces conditions techniques imposeront à l’investisseur de fabriquer une carrosserie au niveau locale, afin d’atteindre un taux d’intégration de 30% au départ et 10% avec les accessoires. Ainsi, l’investisseur étranger ne sera pas contraint à s’associer à un partenaire local, a-t-il fait savoir.

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Par ailleurs, le ministre de l’industrie a plaidé pour l’amélioration du climat des affaires, qui reste selon lui, la première étape à franchir pour la remise sur les rails de l’économie algérienne, affirmant que son plan de travail a pour objectif d’aller vers une réelle industrie nationale, créatrice de richesses et d’emplois.

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