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jeudi, 28 mars 2024
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L’Algérie exclut toujours l’endettement extérieur, assure le ministre à la BM

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Algérie – Le ministre des Finances a échangé hier ; par visioconférence avec le vice-président ; pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) ; à la Banque mondiale. Dans le sillage de son entretien avec Ferid Belhadj de la BM, Aymen Benabderrahmane a assuré que l’Algérie s’en passera de l’endettement extérieur.

Le détenteur du portefeuille des Finances dans notre pays ; a en effet eu une communication avec le responsable en question. À savoir le vice-président du Groupe de la Banque mondiale ; pour la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Au cours de cette entretien à distance ; Aymen Benabderrahmane a réitéré ; devant son interlocuteur de la BM, la position de l’Algérie de ne pas recourir à l’endettement extérieur. C’est ce qu’indique un communiqué du ministère des Finances repéré par l’APS.

Comme alternative ; à la « solution » de s’endetter à l’extérieur faisant l’objet d’écartement ; le gouvernement algérien envisage une option de rechange. Ainsi, selon le ministre ; l’Algérie privilégie ainsi les divers leviers internes. Cela afin de garantir la couverture des besoins de financement ; de son effort de développement. Pour rappel ; Tebboune a par ailleurs expliqué le rejet de l’endettement extérieur ; par le souci de préserver la souveraineté nationale.

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La Banque mondiale (BM) se dit satisfaite de coopérer avec l’Algérie

Le ministre a ensuite appelé ; par la même occasion, la Banque mondiale (BM) ; à poursuivre son appui à l’Algérie. Ceci par le biais des appuis d’aspect technique ; y compris dans le domaine des réformes. Là-dessus, explique le ministre, l’institution compte à son actif ; un capital d’expertise considérable. Le savoir ; et le savoir-faire de la BM ; intéresse donc les dirigeants algériens.

Quant aux réformes, le ministre a d’ailleurs affirmé leur engagement. Elles sont fiscales, budgétaires, bancaires et financières ; selon toujours les mêmes propos. L’objectif poursuivi par là ; indique donc Benabderrahmane ; est l’amélioration du climat des affaires dans notre pays.

De son côté alors, le vice-président de la région MENA a révélé sa satisfaction. Celle-ci porte sur la qualité de la coopération ; en vigueur jusque-là avec l’Algérie. Il a ensuite réaffirmé la disponibilité de l’institution qu’il représente ; d’accompagner l’Algérie dans ses réformes. Le but étant, d’après le cadre de la BM ; de diversifier l’économie algérienne ; et de lui procurer prospérité et résilience.

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